Farfadet.
Publié le 03 août 2025
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Parmi mille enfants, il est des farfadets
Qui sont comme des anges, parmi nous projetés
Ils ont sur leurs visages, et leur corps cette grâce
Qui n’appartient qu’à eux, et dont on ne se lasse.
D’un heureux caractère, ils séduisent sans fards
Tous ceux qui les regardent, ce n’est pas par hasard
Qu’ils ont ce beau sourire, et ces yeux pleins de flamme
Et ce babil joyeux, pour lesquels on se pâme.
La vie semble pour eux, n’être en fait qu’un grand jeu
Dans lequel l’essentiel, est d’y être heureux
Alors ils nous entraînent, dans tout ce merveilleux
Qui existe si fort, tout au fond de leurs yeux.
On voudrait tant pour eux prolonger ces moments
Où courent devant nous des êtres aussi charmants
On voudrait juste un peu en arrêter le temps
Pour les voir, les aimer encore et pour longtemps.
Cette grâce se cueille comme on cueille un bouquet
De fleurs encore fraîches avant qu’elles soient fanées
Elles semblent éternelles dans toute leur beauté
Mais demain leur éclat sera hélas passé.
Mais parfois ces enfants conservent en privilège
Cette grâce étrange que les années n’allègent
Ils deviennent des grands, sans perdre leur sourire
Répandant autour d’eux la belle joie de vivre.
Qui sont comme des anges, parmi nous projetés
Ils ont sur leurs visages, et leur corps cette grâce
Qui n’appartient qu’à eux, et dont on ne se lasse.
D’un heureux caractère, ils séduisent sans fards
Tous ceux qui les regardent, ce n’est pas par hasard
Qu’ils ont ce beau sourire, et ces yeux pleins de flamme
Et ce babil joyeux, pour lesquels on se pâme.
La vie semble pour eux, n’être en fait qu’un grand jeu
Dans lequel l’essentiel, est d’y être heureux
Alors ils nous entraînent, dans tout ce merveilleux
Qui existe si fort, tout au fond de leurs yeux.
On voudrait tant pour eux prolonger ces moments
Où courent devant nous des êtres aussi charmants
On voudrait juste un peu en arrêter le temps
Pour les voir, les aimer encore et pour longtemps.
Cette grâce se cueille comme on cueille un bouquet
De fleurs encore fraîches avant qu’elles soient fanées
Elles semblent éternelles dans toute leur beauté
Mais demain leur éclat sera hélas passé.
Mais parfois ces enfants conservent en privilège
Cette grâce étrange que les années n’allègent
Ils deviennent des grands, sans perdre leur sourire
Répandant autour d’eux la belle joie de vivre.

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