Glaneurs.
Publié le 03 août 2025
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Les matins de ma vie ne furent tous si bons
Que les soirs qu’elle m’offre, je ne m’en trouve bien.
À vouloir le bonheur parfois on tourne en rond
A ne se satisfaire de chaque petits riens.
Nous sommes des glaneurs de plaisirs éphémères
Et nous voudrions en plus un coin d’éternité ?
Nous sommes de passage, on sait sur cette terre
Et nous voudrions avoir bien plus que sa beauté !
Quand le présent déçoit par ennui ou douleurs
Quand on n’a de désir pour enflammer son cœur
On se tourne toujours vers un passé heureux
On rêve l’avenir que l’on n’a sous les yeux.
Insatisfaits de tout sauf d’émotions intenses
Frustrés de n’avoir pas la sublime existence
Que d’autres semblent vivre, mais ce n’est qu’illusion
Nous voudrions tous brûler aux feux de nos passions.
Les matins de ma vie si j’en ai souvenance
Ne furent tous bercés des parfums de l’enfance.
Quant aux soirs d’aujourd’hui voyez-vous si j’y pense
Ils se déroulent heureux en joli coin de France.
Que les soirs qu’elle m’offre, je ne m’en trouve bien.
À vouloir le bonheur parfois on tourne en rond
A ne se satisfaire de chaque petits riens.
Nous sommes des glaneurs de plaisirs éphémères
Et nous voudrions en plus un coin d’éternité ?
Nous sommes de passage, on sait sur cette terre
Et nous voudrions avoir bien plus que sa beauté !
Quand le présent déçoit par ennui ou douleurs
Quand on n’a de désir pour enflammer son cœur
On se tourne toujours vers un passé heureux
On rêve l’avenir que l’on n’a sous les yeux.
Insatisfaits de tout sauf d’émotions intenses
Frustrés de n’avoir pas la sublime existence
Que d’autres semblent vivre, mais ce n’est qu’illusion
Nous voudrions tous brûler aux feux de nos passions.
Les matins de ma vie si j’en ai souvenance
Ne furent tous bercés des parfums de l’enfance.
Quant aux soirs d’aujourd’hui voyez-vous si j’y pense
Ils se déroulent heureux en joli coin de France.

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