Hypothèse (plus que thèse) audacieuse ?
Publié le 03 août 2025
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Je m’en vais me risquer à faire une hypothèse
née des pensées je sais d’un apprenti poète.
Aurais-je du savant des preuves plein la tête que peut être je l’aurais exposé comme thèse.
Chacun est le produit de son éducation cela aussi est vrai des civilisations.
À moins que de prétendre récuser de Darwin la théorie si riche nommée évolution, nous savons sans nul doute, il n’y plus de question que l’homme est le produit de cette évolution.
Processus établi, sélection naturelle qui fait que les plus aptes vivent et se multiplient, qui favorise en eux les talents de survie.
Au fil des millénaires il fallait être forts pour vaincre l’adversaire quitte à donner la mort. La tribu assurait ainsi sa subsistance et sur son territoire ainsi son existence.
Plus tard les sociétés se sont tant fait la guerre, parfois disparaissant du fil des millénaires mais il en est resté toujours une constante, c’est de faire la guerre toute affaire cessante.
Se sont donc affirmés au profond des consciences ( car ce n’est pas des gènes la thèse est contestée) l’idée de cultiver ce dès le plus jeune âge chez les petits garçons tous ces comportements qui conduisent à la domination.
Pourtant ce qu’on observe c’est que les civilisations se sont développées en période de paix où pouvaient s’exprimer d’autres talents subtils et bien plus créatifs que leurs pouvoirs guerriers.
Mais l’homme ne s’applique ces constats de sagesse. Cogito ergo sum c’est là que le bat blesse. Porter autant d’orgueil qu’on en devient aveugle sur ses propres ressorts qui gouvernent nos vies.
En dépit de cela toujours ont resurgi ces envies de se battre, d’inventer l’ennemi. Prétexte à lui prendre ses ressources vitales. Le temps a dans l’espèce ainsi sélectionné les comportements agressifs et guerriers. Il fascine l’homme fort, aussi le va-t-en guerre, les foules devant lui mettent genou en terre !
L’époque d’aujourd’hui en est l’illustration tant les temps sont troublés et l’avenir est sombre.
Partout sont revenus en force les vieux réflexes: c’est nous contre les autres, ce sera nous ou eux. Dans combien de pays ont surgi des bonhommes, tous plus fiers à bras et tous plus matamores qui clament haut et fort qu’il y a quelqu’un à vaincre, règnent par la vindicte quand ce n’est la terreur!
Lors comment donc lutter contre d’aussi lourdes tendances, surtout lorsque c’est tout au bord du volcan que l’on danse.
Nous voilà revenus à ces périodes sombres où tous perdent de vue notre destin commun. Soit on s'unit enfin pour surmonter l’obstacle soit il n’y aura plus d’hommes pour se dire vainqueurs.
née des pensées je sais d’un apprenti poète.
Aurais-je du savant des preuves plein la tête que peut être je l’aurais exposé comme thèse.
Chacun est le produit de son éducation cela aussi est vrai des civilisations.
À moins que de prétendre récuser de Darwin la théorie si riche nommée évolution, nous savons sans nul doute, il n’y plus de question que l’homme est le produit de cette évolution.
Processus établi, sélection naturelle qui fait que les plus aptes vivent et se multiplient, qui favorise en eux les talents de survie.
Au fil des millénaires il fallait être forts pour vaincre l’adversaire quitte à donner la mort. La tribu assurait ainsi sa subsistance et sur son territoire ainsi son existence.
Plus tard les sociétés se sont tant fait la guerre, parfois disparaissant du fil des millénaires mais il en est resté toujours une constante, c’est de faire la guerre toute affaire cessante.
Se sont donc affirmés au profond des consciences ( car ce n’est pas des gènes la thèse est contestée) l’idée de cultiver ce dès le plus jeune âge chez les petits garçons tous ces comportements qui conduisent à la domination.
Pourtant ce qu’on observe c’est que les civilisations se sont développées en période de paix où pouvaient s’exprimer d’autres talents subtils et bien plus créatifs que leurs pouvoirs guerriers.
Mais l’homme ne s’applique ces constats de sagesse. Cogito ergo sum c’est là que le bat blesse. Porter autant d’orgueil qu’on en devient aveugle sur ses propres ressorts qui gouvernent nos vies.
En dépit de cela toujours ont resurgi ces envies de se battre, d’inventer l’ennemi. Prétexte à lui prendre ses ressources vitales. Le temps a dans l’espèce ainsi sélectionné les comportements agressifs et guerriers. Il fascine l’homme fort, aussi le va-t-en guerre, les foules devant lui mettent genou en terre !
L’époque d’aujourd’hui en est l’illustration tant les temps sont troublés et l’avenir est sombre.
Partout sont revenus en force les vieux réflexes: c’est nous contre les autres, ce sera nous ou eux. Dans combien de pays ont surgi des bonhommes, tous plus fiers à bras et tous plus matamores qui clament haut et fort qu’il y a quelqu’un à vaincre, règnent par la vindicte quand ce n’est la terreur!
Lors comment donc lutter contre d’aussi lourdes tendances, surtout lorsque c’est tout au bord du volcan que l’on danse.
Nous voilà revenus à ces périodes sombres où tous perdent de vue notre destin commun. Soit on s'unit enfin pour surmonter l’obstacle soit il n’y aura plus d’hommes pour se dire vainqueurs.

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