Illusions.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
4 lecture
(0)
Un drapeau que l’on hisse
Un étendard qu’on lève
Souvent un précipice
Un fossé où l’on crève.
————
Un bonbon, un délice
De douceur tous on rêve
Et quant aux sacrifices
On demande une trêve !
————-
Combien de mois d’années
Ou combien de saisons
Pour que l’homme aliéné
Puisse entendre raison ?
————-
Comme un caillou on roule
Sur les chemins du temps
Entraîné par des foules
Au pas bien hésitant.
————-
L’homme est une machine
Faite d’os et de sang
C’est ce qu’il imagine
Sans y croire pourtant.
—————
En vers comme en prose
On peut chanter la vie
Quand ce qu’elle propose
En tout point nous sourit.
Un étendard qu’on lève
Souvent un précipice
Un fossé où l’on crève.
————
Un bonbon, un délice
De douceur tous on rêve
Et quant aux sacrifices
On demande une trêve !
————-
Combien de mois d’années
Ou combien de saisons
Pour que l’homme aliéné
Puisse entendre raison ?
————-
Comme un caillou on roule
Sur les chemins du temps
Entraîné par des foules
Au pas bien hésitant.
————-
L’homme est une machine
Faite d’os et de sang
C’est ce qu’il imagine
Sans y croire pourtant.
—————
En vers comme en prose
On peut chanter la vie
Quand ce qu’elle propose
En tout point nous sourit.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.