Jentends tous les sarcasmes des aveugles dun soir
Publié le 03 août 2025
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De ceux pour qui plus tard ne mérite d’espoir
Leurs rires sont moqueries, plus stupides qu’eux mêmes
Riez donc puisqu’ainsi, vous vous trompez vous mêmes.
Comment voir converger toutes les consciences
Quand tant encore doutent du discours de la science
Quand ils se croient encore dans un monde infini
Et préfèrent toujours rester dans le déni.
Après tout ils s’en moquent ils ne seront frappés
Quand les premiers à l’être seront des étrangers
J’en soupçonnerais presque, que beaucoup s’en réjouissent
Depuis les havres, qu’ils possèdent en Suisse.
Tout cynisme dehors ils se rient des malheurs
Ou versent quelques larmes avec l’esprit ailleurs
Ce sont sachez-le bien des esprits supérieurs
Le pire épargnera, ils le croient, les meilleurs.
À l’abri dans leurs bulles aux barreaux trop dorés
Tous ces grands voyageurs qui savent se dorer
Aux quatre coins d’un monde dont ils sont prédateurs
Se moquent du futur, comme de leur quatre heure.
Sans doute se pensent-ils tous très intelligents
Bien plus en tous cas que la plupart des gens
Je devine déjà le rictus sur leurs lèvres
Quand la réalité leur montrera qui crèvent
Quand leurs enfants ou leurs petits enfants
Demanderont pourquoi la planète se meurt
Et qu’ils devront répondre, on regardait ailleurs
En traitant de bobards les propos des savants.
Leurs rires sont moqueries, plus stupides qu’eux mêmes
Riez donc puisqu’ainsi, vous vous trompez vous mêmes.
Comment voir converger toutes les consciences
Quand tant encore doutent du discours de la science
Quand ils se croient encore dans un monde infini
Et préfèrent toujours rester dans le déni.
Après tout ils s’en moquent ils ne seront frappés
Quand les premiers à l’être seront des étrangers
J’en soupçonnerais presque, que beaucoup s’en réjouissent
Depuis les havres, qu’ils possèdent en Suisse.
Tout cynisme dehors ils se rient des malheurs
Ou versent quelques larmes avec l’esprit ailleurs
Ce sont sachez-le bien des esprits supérieurs
Le pire épargnera, ils le croient, les meilleurs.
À l’abri dans leurs bulles aux barreaux trop dorés
Tous ces grands voyageurs qui savent se dorer
Aux quatre coins d’un monde dont ils sont prédateurs
Se moquent du futur, comme de leur quatre heure.
Sans doute se pensent-ils tous très intelligents
Bien plus en tous cas que la plupart des gens
Je devine déjà le rictus sur leurs lèvres
Quand la réalité leur montrera qui crèvent
Quand leurs enfants ou leurs petits enfants
Demanderont pourquoi la planète se meurt
Et qu’ils devront répondre, on regardait ailleurs
En traitant de bobards les propos des savants.

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