La balade du cambrioleur.
Publié le 03 août 2025
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Écoute ami cette chanson
Au coin du feu je la chantonne
Par un de ces doux soirs d’automne
Où tous un peu on s’abandonne.
Elle raconte l’aventure
D’un gentil garçon de chez nous
Dont c’était bien dans la nature
D’aller mettre son nez partout.
Voilà t’y pas que ce gars là
Alla visiter un bourgeois
Pénétrer dans son domicile
Cela lui semblait si facile.
Il n’avait jamais sachez-le
Vu un grand lit si confortable
Ni des mets aussi merveilleux
Dressés sur une grande table.
Ce garçon là était curieux
De voir ces choses admirables
Et il n’en croyait pas ses yeux
Lui qui était si misérable.
Il ne pensait du tout à mal
Et c’est pour ça qu’on lui pardonne
N’est-il pas vrai, n’est-ce normal
Que de voir ça, fort ça l’étonne ?
Dans une chambre il trouva
Une jeune femme endormie
Pour elle sitôt il éprouva
Ce que l’on ressent pour sa mie
Il fut tenté de s’allonger
Sur le grand lit aux draps de soie
Juste un peu pour prolonger
Cette illusion et cet émoi.
Et c’est ainsi qu’il s’endormît
Bercé par des rêves impossibles
Et c’est alors qu’il fut surpris
Par un bourgeois très irascible.
L’homme appela la police
Pour faire chasser cet intrus
On lui chercha même des complices
Avant de le rendre à la rue.
Tout ce bruit réveilla la belle
Qui à la vue de ce garçon
Dont les yeux clairs, mèche rebelle
Remuèrent son coraçon.
Elle s’enquit de ce garcon
Elle voulu savoir son nom
Elle le rencontra en cachette
Il lui conta un peu fleurette.
Vous aurez deviné la suite
Elle appartient à la chanson
Tous deux se retrouvèrent en fuite
Loin du bourgeois, de sa maison.
Dont le plus grand de ses trésors
Était sa fille aux cheveux d’or
Et parmi ses peurs les plus folles
C’était bien qu’on la cambriole.
Au coin du feu je la chantonne
Par un de ces doux soirs d’automne
Où tous un peu on s’abandonne.
Elle raconte l’aventure
D’un gentil garçon de chez nous
Dont c’était bien dans la nature
D’aller mettre son nez partout.
Voilà t’y pas que ce gars là
Alla visiter un bourgeois
Pénétrer dans son domicile
Cela lui semblait si facile.
Il n’avait jamais sachez-le
Vu un grand lit si confortable
Ni des mets aussi merveilleux
Dressés sur une grande table.
Ce garçon là était curieux
De voir ces choses admirables
Et il n’en croyait pas ses yeux
Lui qui était si misérable.
Il ne pensait du tout à mal
Et c’est pour ça qu’on lui pardonne
N’est-il pas vrai, n’est-ce normal
Que de voir ça, fort ça l’étonne ?
Dans une chambre il trouva
Une jeune femme endormie
Pour elle sitôt il éprouva
Ce que l’on ressent pour sa mie
Il fut tenté de s’allonger
Sur le grand lit aux draps de soie
Juste un peu pour prolonger
Cette illusion et cet émoi.
Et c’est ainsi qu’il s’endormît
Bercé par des rêves impossibles
Et c’est alors qu’il fut surpris
Par un bourgeois très irascible.
L’homme appela la police
Pour faire chasser cet intrus
On lui chercha même des complices
Avant de le rendre à la rue.
Tout ce bruit réveilla la belle
Qui à la vue de ce garçon
Dont les yeux clairs, mèche rebelle
Remuèrent son coraçon.
Elle s’enquit de ce garcon
Elle voulu savoir son nom
Elle le rencontra en cachette
Il lui conta un peu fleurette.
Vous aurez deviné la suite
Elle appartient à la chanson
Tous deux se retrouvèrent en fuite
Loin du bourgeois, de sa maison.
Dont le plus grand de ses trésors
Était sa fille aux cheveux d’or
Et parmi ses peurs les plus folles
C’était bien qu’on la cambriole.

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