La sortie à Prats-Balaguer
Publié le 03 août 2025
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Endavant ce jeudi a choisi pour sortie
Les hauteurs qui dominent dessus Prats-Balaguer
Dix sept vaillants marcheurs lancés dans l’aventurePour prendre ce printemps un grand bain de nature
Dix sept vaillants marcheurs lancés dans l’aventure
Pour prendre ce printemps un grand bain de nature
A l’aller sur la route pendant quelques lacetsSont stationnés voitures et fourgons délabrés Une communauté débraillée, marginaleA fait des bains tous proches sa terre idéale.
A l’aller sur la route pendant quelques lacets
Sont stationnés voitures et fourgons délabrés
Une communauté débraillée, marginale
A fait des bains tous proches sa terre idéale.
Une piste on suit, ruines de tour de guet
Qui se prolonge ensuite sur un chemin raidi.
Un groupe un peu sage s’arrêtera au lac,
Retenue collinaire, pour y poser leurs sacs.
Un autre qui n’a pas de douleurs dans les jambes
Gravira sans broncher bien de nouvelles pentes
Pour se rendre au refuge auprès d’un bel orry
Et y casser la croûte bien plus tard que midi.
Près du lac d’habitude s’ébattent des marmottes
Mais point de ces bestioles ne sont vues ce jour là
Nous n’avions fait de bruit, pourtant nul bruit de bottes
Elles sont restées cachées parfois c’est comme ça !
Au retour sur la piste nous croisons une dame
Qui marche d’un pas sûr comme une montagnarde
Francis sans barguigner demande à cette femme
Si elle ne connaît pas un ancien camarade ?
Hasard des circonstances elle est la voisine
De l’ancienne maison que Francis construisit
Au siècle dernier il y passait ses loisirs
Avec sa famille et à sa fantaisie.
Les deux groupes enfin se sont plus tard rejoints
Ultime discussions, pas autour de l’église
Échanges amicaux puis on se fait la bise
C’est pour tous le retour vers BOLQUÈRE pas loin.
Les hauteurs qui dominent dessus Prats-Balaguer
Dix sept vaillants marcheurs lancés dans l’aventurePour prendre ce printemps un grand bain de nature
Dix sept vaillants marcheurs lancés dans l’aventure
Pour prendre ce printemps un grand bain de nature
A l’aller sur la route pendant quelques lacetsSont stationnés voitures et fourgons délabrés Une communauté débraillée, marginaleA fait des bains tous proches sa terre idéale.
A l’aller sur la route pendant quelques lacets
Sont stationnés voitures et fourgons délabrés
Une communauté débraillée, marginale
A fait des bains tous proches sa terre idéale.
Une piste on suit, ruines de tour de guet
Qui se prolonge ensuite sur un chemin raidi.
Un groupe un peu sage s’arrêtera au lac,
Retenue collinaire, pour y poser leurs sacs.
Un autre qui n’a pas de douleurs dans les jambes
Gravira sans broncher bien de nouvelles pentes
Pour se rendre au refuge auprès d’un bel orry
Et y casser la croûte bien plus tard que midi.
Près du lac d’habitude s’ébattent des marmottes
Mais point de ces bestioles ne sont vues ce jour là
Nous n’avions fait de bruit, pourtant nul bruit de bottes
Elles sont restées cachées parfois c’est comme ça !
Au retour sur la piste nous croisons une dame
Qui marche d’un pas sûr comme une montagnarde
Francis sans barguigner demande à cette femme
Si elle ne connaît pas un ancien camarade ?
Hasard des circonstances elle est la voisine
De l’ancienne maison que Francis construisit
Au siècle dernier il y passait ses loisirs
Avec sa famille et à sa fantaisie.
Les deux groupes enfin se sont plus tard rejoints
Ultime discussions, pas autour de l’église
Échanges amicaux puis on se fait la bise
C’est pour tous le retour vers BOLQUÈRE pas loin.

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