Le chaud et leffroi.
Publié le 03 août 2025
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Encore un été offert par la nature
Oui mais quel été, quelle caricature !
Qui a frappé dès juin, enchaînant canicules
Où de grands incendies embrasent et ne reculent
Jadis quand les anciens trouvaient comme raison
Le temps est déréglé, il n’y a plus de saisons
C’était pour voir l’écart comme un messager
Et voir le phénomène comme très passager.
Voilà que nous y sommes, les messages sont clairs
Demain ne sera plus désormais comme hier.
Nous allons vers des temps qui s’annoncent infernaux
Lors que tout se dérègle comme la météo.
On cueille le raisin en plein cœur de l’été
La grêle est fréquente et vient tout dévaster
Les rivières s’assèchent, et du fond de leur lit
Surgissent des vestiges bien tombés dans l’oubli.
Ailleurs la terre ferme disparaît sous les eaux.
Il n’existe de terme à l’assaut des fléaux
La nature partout accouche de ces maux
Elle semble n’avoir dit hélas son dernier mot.
Que sera cet automne ? Catastrophes en chaînes ?
Quand l’eau emportera le roseau et le chêne.
Que sera cet hiver ? Des virus en cortège ?
Quels dégâts à nouveau troubleront le manège ?
Qui donc se risquera à fêter le printemps
A dire la saison où souffler un instant ?
La roue de la fortune a des tours de folie
Qui sait quand elle s’arrête si sonne l’hallali ?
Encore un été qui laissera des traces
Quand déjà le prochain agite ses menaces.
Hausse du thermomètre qui provoque l’effroi
Et oh quel paradoxe ! qui jette comme un froid.
Oui mais quel été, quelle caricature !
Qui a frappé dès juin, enchaînant canicules
Où de grands incendies embrasent et ne reculent
Jadis quand les anciens trouvaient comme raison
Le temps est déréglé, il n’y a plus de saisons
C’était pour voir l’écart comme un messager
Et voir le phénomène comme très passager.
Voilà que nous y sommes, les messages sont clairs
Demain ne sera plus désormais comme hier.
Nous allons vers des temps qui s’annoncent infernaux
Lors que tout se dérègle comme la météo.
On cueille le raisin en plein cœur de l’été
La grêle est fréquente et vient tout dévaster
Les rivières s’assèchent, et du fond de leur lit
Surgissent des vestiges bien tombés dans l’oubli.
Ailleurs la terre ferme disparaît sous les eaux.
Il n’existe de terme à l’assaut des fléaux
La nature partout accouche de ces maux
Elle semble n’avoir dit hélas son dernier mot.
Que sera cet automne ? Catastrophes en chaînes ?
Quand l’eau emportera le roseau et le chêne.
Que sera cet hiver ? Des virus en cortège ?
Quels dégâts à nouveau troubleront le manège ?
Qui donc se risquera à fêter le printemps
A dire la saison où souffler un instant ?
La roue de la fortune a des tours de folie
Qui sait quand elle s’arrête si sonne l’hallali ?
Encore un été qui laissera des traces
Quand déjà le prochain agite ses menaces.
Hausse du thermomètre qui provoque l’effroi
Et oh quel paradoxe ! qui jette comme un froid.

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