Le jeu des apparences.
Publié le 03 août 2025
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Sais-tu jouer ami au jeu des apparences ?
Pour dans l’imitation qu’il n’y ait de différences ?
Ce monde est illusion où tout est tromperie
Les promesses y sont souvent pommes pourries.
Longtemps comme beaucoup tu as cru en ces mots
L’habit ne fait le moine, va voir sous le manteau.
Mais que pourras tu voir des pantins qui s’agitent ?
Ils vivent loin de toi, des endroits où t’habites.
Tout comme au théâtre il y a des comédiens
Mais ceux là qui s’y montrent, ce n’est pas pour ton bien
Bien vite ils se révèlent comme de vrais vauriens
Quand ils sont au pouvoir, ils le tiennent fort bien.
Toi tu as cru, naïf, à leurs belles paroles
Pour eux ce n’était rien qu’un de leurs meilleurs rôles.
Déjà c’est dans ton dos que vois-tu ils rigolent
Tandis que toi hélas à présent tu t’affoles.
Que peut l’homme sincère pris à ce jeu de dupes ?
Lorsque la vérité est prise dans la pupe
A mi-chemin tenue là entre vrai et faux
Par ces affreux tartuffes, par ces jongleurs de mots ?
Quoi de plus contagieux que leurs foutus mensonges ?
Qui ne veut à son tour, qui quelquefois n’y songe
À jouer dans cette cour de fausses apparences
Pour enfin n’y subir l’effet de leurs outrances ?
Pour dans l’imitation qu’il n’y ait de différences ?
Ce monde est illusion où tout est tromperie
Les promesses y sont souvent pommes pourries.
Longtemps comme beaucoup tu as cru en ces mots
L’habit ne fait le moine, va voir sous le manteau.
Mais que pourras tu voir des pantins qui s’agitent ?
Ils vivent loin de toi, des endroits où t’habites.
Tout comme au théâtre il y a des comédiens
Mais ceux là qui s’y montrent, ce n’est pas pour ton bien
Bien vite ils se révèlent comme de vrais vauriens
Quand ils sont au pouvoir, ils le tiennent fort bien.
Toi tu as cru, naïf, à leurs belles paroles
Pour eux ce n’était rien qu’un de leurs meilleurs rôles.
Déjà c’est dans ton dos que vois-tu ils rigolent
Tandis que toi hélas à présent tu t’affoles.
Que peut l’homme sincère pris à ce jeu de dupes ?
Lorsque la vérité est prise dans la pupe
A mi-chemin tenue là entre vrai et faux
Par ces affreux tartuffes, par ces jongleurs de mots ?
Quoi de plus contagieux que leurs foutus mensonges ?
Qui ne veut à son tour, qui quelquefois n’y songe
À jouer dans cette cour de fausses apparences
Pour enfin n’y subir l’effet de leurs outrances ?

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