Le mot qui me fait peur.
Publié le 03 août 2025
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Le mot qui me fait peur, ce n’est pas le mot mort
C’est le mot extinction, car il est bien plus fort
La mort elle n’est pas, tu vois, la fin de tout
Puisqu’une vie renaît, c’est un cycle c’est tout.
L’extinction est une plus grande menace
Car il n’y a plus rien, après la foutue garce
Elle ne laisse derrière, de nous aucune trace
Je ne sais même pas ce qui prendra la place.
Si un jour je m’en vais, j’ai l’espoir qu’après moi
La vie continuera, à travers mes enfants
Que tout ce que j’ai fait n’aura été en vain
Puisque à ma façon, j’influence demain.
La mort est nécessaire pour que l’espèce vive
Qu’elle grandisse, s’adapte et souvent elle y arrive
Mais ce n’est qu’une gomme, que la grande extinction
La mémoire des hommes, elle en fait illusion.
Moi je n’ai qu’une peur, c’est la grande extinction
Qui rend tout dérisoire, il n’y a plus de question
Dans le gouffre du temps elle jette l’histoire
Cette histoire des hommes, dont nous nous faisons gloire.
La mort est célébrée, on peut lui rendre hommage
Au devoir accompli qui est celui des sages
Il n’y a plus personne, pas un clairon qui sonne
Quand tout a disparu, quand plus rien ne raisonne.
C’est le mot extinction, car il est bien plus fort
La mort elle n’est pas, tu vois, la fin de tout
Puisqu’une vie renaît, c’est un cycle c’est tout.
L’extinction est une plus grande menace
Car il n’y a plus rien, après la foutue garce
Elle ne laisse derrière, de nous aucune trace
Je ne sais même pas ce qui prendra la place.
Si un jour je m’en vais, j’ai l’espoir qu’après moi
La vie continuera, à travers mes enfants
Que tout ce que j’ai fait n’aura été en vain
Puisque à ma façon, j’influence demain.
La mort est nécessaire pour que l’espèce vive
Qu’elle grandisse, s’adapte et souvent elle y arrive
Mais ce n’est qu’une gomme, que la grande extinction
La mémoire des hommes, elle en fait illusion.
Moi je n’ai qu’une peur, c’est la grande extinction
Qui rend tout dérisoire, il n’y a plus de question
Dans le gouffre du temps elle jette l’histoire
Cette histoire des hommes, dont nous nous faisons gloire.
La mort est célébrée, on peut lui rendre hommage
Au devoir accompli qui est celui des sages
Il n’y a plus personne, pas un clairon qui sonne
Quand tout a disparu, quand plus rien ne raisonne.

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