Le temps des adieux.
Publié le 03 août 2025
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Lorsque s’en vient le temps où l’on songe aux adieux
Qu’au bout du long couloir se voit la flamme bleue
Qu’on sent la vie s’éteindre chaque jour, peu à peu
Que l’on n’est jamais sûr d’ouvrir encor’ les yeux
Est-ce qu’alors s’installe une très grande paix
Où est-ce que l’on redoute le dernier coup d’épée ?
Est-ce que l’on aspire à cesser tous nos jeux
Ou est-ce que l’on veut encore dire un je ?
Ce n’est qu’au pied du mur qu’on comprend la leçon
Et qu’au bout du chemin qu’on apprend qui on est.
Peut être qu’après tout comme un mur du son
Nous franchissons un jour juste un passage à gué.
La peur de l’inconnu est commune émotion
Ce qu’il y a derrière vraiment nul ne le sait.
Peut être le néant n’est qu’un champ de coton
Où nous allons dormir toute une éternité ?
Lorsque viendra ce temps où l’on songe aux adieux
J’essaierai de me dire c’était ton tour mon vieux.
J’espère seulement ne point être trop seul
Avant que m’enveloppe l’étoffe du linceul.
Qu’au bout du long couloir se voit la flamme bleue
Qu’on sent la vie s’éteindre chaque jour, peu à peu
Que l’on n’est jamais sûr d’ouvrir encor’ les yeux
Est-ce qu’alors s’installe une très grande paix
Où est-ce que l’on redoute le dernier coup d’épée ?
Est-ce que l’on aspire à cesser tous nos jeux
Ou est-ce que l’on veut encore dire un je ?
Ce n’est qu’au pied du mur qu’on comprend la leçon
Et qu’au bout du chemin qu’on apprend qui on est.
Peut être qu’après tout comme un mur du son
Nous franchissons un jour juste un passage à gué.
La peur de l’inconnu est commune émotion
Ce qu’il y a derrière vraiment nul ne le sait.
Peut être le néant n’est qu’un champ de coton
Où nous allons dormir toute une éternité ?
Lorsque viendra ce temps où l’on songe aux adieux
J’essaierai de me dire c’était ton tour mon vieux.
J’espère seulement ne point être trop seul
Avant que m’enveloppe l’étoffe du linceul.

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