Le train.
Publié le 03 août 2025
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S’adapter est la clef, face aux changements
S’adapter est possible, mais exige du temps
La vie est malléable, depuis l’aube des temps
À seule condition, que changements soient lents.
Dans ce jeu bien rodé, au fil des millénaires
L’homme est survenu, pressé et en colère
En siècles jusqu’ici, on comptait son empreinte
Quelques années seulement, et tant d’espèces éteintes !
Tout cela va trop vite, et c’est l’homme lui même
Qui se voit dépassé, par bien trop de problèmes
Il en crève chaque jour, dans sa fuite en avant
Sans se préoccuper, même de ses enfants.
Des enfants éduqués, par l’écran des tablettes
Plus que par leurs parents, égarés dans leurs quêtes
Un monde qui bascule, dans le dénaturé
Sans que l’homme ne pense, même à s’arrêter.
Combien de vies blessées, détruites ou niées
Dans ce courant à tort, baptisé le progrès
Des progrès il en fait, mais dans les catastrophes
Trop nombreuses je crains, pour tenir dans ces strophes.
S’adapter c’est flotter sur des temps incertains
Mais nous allons sombrer, pour beaucoup c’est certain
Tous les cris de détresse, seront poussés en vain
L’homme semble impuissant à arrêter son train.
S’adapter est possible, mais exige du temps
La vie est malléable, depuis l’aube des temps
À seule condition, que changements soient lents.
Dans ce jeu bien rodé, au fil des millénaires
L’homme est survenu, pressé et en colère
En siècles jusqu’ici, on comptait son empreinte
Quelques années seulement, et tant d’espèces éteintes !
Tout cela va trop vite, et c’est l’homme lui même
Qui se voit dépassé, par bien trop de problèmes
Il en crève chaque jour, dans sa fuite en avant
Sans se préoccuper, même de ses enfants.
Des enfants éduqués, par l’écran des tablettes
Plus que par leurs parents, égarés dans leurs quêtes
Un monde qui bascule, dans le dénaturé
Sans que l’homme ne pense, même à s’arrêter.
Combien de vies blessées, détruites ou niées
Dans ce courant à tort, baptisé le progrès
Des progrès il en fait, mais dans les catastrophes
Trop nombreuses je crains, pour tenir dans ces strophes.
S’adapter c’est flotter sur des temps incertains
Mais nous allons sombrer, pour beaucoup c’est certain
Tous les cris de détresse, seront poussés en vain
L’homme semble impuissant à arrêter son train.

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