LEADER CHARISMATIQUE
Publié le 03 août 2025
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Qu'est-ce qui t'a donné cet appétit de vivre
De mordre à belles dents ailleurs que dans les livres ?
Où puises-tu enfin cette belle énergie
Qui est intarissable entre tes mains hardies ?
Rien ne semble t'atteindre des outrages du temps
Rien ne paraît te vaincre des obstacles devant
Tu balaies les peut-être qui encombrent ta route
Tu repousses les craintes et effaces les doutes.
À ceux qui m'ont appris le goût de la vaillance À toujours avancer quel qu'en soit le momentÀ éviter de geindre malgré les circonstances À préférer jouir de ce qu'offre le temps.Et j'ai appris la vie, parfois avec méfiance, J'ai puisé dans sa source chacun de ses bienfaitsEt de chaque saison qui est la renaissance Je reconstruis alors ce que le temps défait.
À ceux qui m'ont appris le goût de la vaillance
À toujours avancer quel qu'en soit le moment
À éviter de geindre malgré les circonstances
À préférer jouir de ce qu'offre le temps.
Et j'ai appris la vie, parfois avec méfiance,
J'ai puisé dans sa source chacun de ses bienfaits
Et de chaque saison qui est la renaissance
Je reconstruis alors ce que le temps défait.
Est-ce une carapace aux dessous plus fragiles
Que tu montres en tous temps, en homme très habile,
Où est-ce là vraiment, ton réel caractère
Qui révèle ainsi ton esprit volontaire ?
Mais quels sont ces espoirs qui te font avancer
Ces fortes convictions dont tu n'es pas lassé
Quels buts poursuis-tu donc qui te motivent ainsi,
Qu'elles sont ces raisons qui te poussent à l'envie ?
J'ai regardé le monde dans sa réalité. Parfois gai, parfois triste, bien souvent simuléEt j'ai compris qu'alors il me faudrait lutter. Que rien nous est acquis, qu'il faut le mériter.Si parfois des faiblesses viennent me faire douter. J'essaye avec sagesse de toujours surmonter.Et d'un revers de main je balaie sur mon seuil, Ce qui en tout instant pourrait-être un écueil.
J'ai regardé le monde dans sa réalité.
Parfois gai, parfois triste, bien souvent simulé
Et j'ai compris qu'alors il me faudrait lutter.
Que rien nous est acquis, qu'il faut le mériter.
Si parfois des faiblesses viennent me faire douter.
J'essaye avec sagesse de toujours surmonter.
Et d'un revers de main je balaie sur mon seuil,
Ce qui en tout instant pourrait-être un écueil.
Mais tu ne le dis pas quelle est cette étoile
Après laquelle tu cours, ou vers qui tu fais voile
Tu restes silencieux sur le profond secret
Qui gît au fond de toi, dont le feu est sacré
Gardes-le ce mystère il est ton bien précieux
Il n'y a rien sur terre ni même dans les cieux
Qui puisse te donner ta force et cet aura
Qui font que tant de gens s'attachent à tes pas.
Il n'est point de secret qu'au fond de moi je cache Simplement cet amour pour le travail bien faitCelui de mes aîeux qui sont morts à la tâche Mais qui ont su garder l'espoir en eux ancré.J'ai fait commme celui dont parle le poète, Vingt fois sur le métier j'ai remis mon ouvrageL'amour m'y a aidé, j'en ai fait ma conquête Et encore aujourd'hui, il est de mes voyages.Je cours après le temps, pas du tout la richesse, Ce temps qui m'est compté et fâne mes attraitsMais qu'importe à présent, j'ai acquis la sagesse, Une ride de plus ne va pas m'affecterJe voudrais cependant laisser un héritage, À ceux qui après mois vont prendre le relais,Leur dire que la vie est un apprentissage, et qu'à chaque matin il est renouvelé.
Il n'est point de secret qu'au fond de moi je cache
Simplement cet amour pour le travail bien fait
Celui de mes aîeux qui sont morts à la tâche
Mais qui ont su garder l'espoir en eux ancré.
J'ai fait commme celui dont parle le poète,
Vingt fois sur le métier j'ai remis mon ouvrage
L'amour m'y a aidé, j'en ai fait ma conquête
Et encore aujourd'hui, il est de mes voyages.
Je cours après le temps, pas du tout la richesse,
Ce temps qui m'est compté et fâne mes attraits
Mais qu'importe à présent, j'ai acquis la sagesse,
Une ride de plus ne va pas m'affecter
Je voudrais cependant laisser un héritage,
À ceux qui après mois vont prendre le relais,
Leur dire que la vie est un apprentissage,
et qu'à chaque matin il est renouvelé.
Je vois tu ne veux pas même céder un pouce
Tu ne veux évoquer ce qui vraiment te pousse
Préférant invoquer ce que d'autres ont fait
Qui les fait ordinaires bien plus que toi tu n'est.
Ton destin sort pourtant de ces vies ordinaires
Animées des valeurs que les peuples ont créées
Tu portes en toi la flamme des destins singuliers
De ceux qui par le monde ont parfois tout changé.
Je respecte ton choix après tout moi qui suis-je
Pour oser audacieux, interpeller ta foi
Je le sais après tout c'est toi qui fait ta loi
Contre ta volonté après tout moi qui puis-je ?
Tu es de ces meneurs au charisme magique
Qui surgissent parfois des époques troublées
Tu conduiras les hommes vers des choix pacifiques
En leur montrant la voie, le chemin de la paix.
De mordre à belles dents ailleurs que dans les livres ?
Où puises-tu enfin cette belle énergie
Qui est intarissable entre tes mains hardies ?
Rien ne semble t'atteindre des outrages du temps
Rien ne paraît te vaincre des obstacles devant
Tu balaies les peut-être qui encombrent ta route
Tu repousses les craintes et effaces les doutes.
À ceux qui m'ont appris le goût de la vaillance À toujours avancer quel qu'en soit le momentÀ éviter de geindre malgré les circonstances À préférer jouir de ce qu'offre le temps.Et j'ai appris la vie, parfois avec méfiance, J'ai puisé dans sa source chacun de ses bienfaitsEt de chaque saison qui est la renaissance Je reconstruis alors ce que le temps défait.
À ceux qui m'ont appris le goût de la vaillance
À toujours avancer quel qu'en soit le moment
À éviter de geindre malgré les circonstances
À préférer jouir de ce qu'offre le temps.
Et j'ai appris la vie, parfois avec méfiance,
J'ai puisé dans sa source chacun de ses bienfaits
Et de chaque saison qui est la renaissance
Je reconstruis alors ce que le temps défait.
Est-ce une carapace aux dessous plus fragiles
Que tu montres en tous temps, en homme très habile,
Où est-ce là vraiment, ton réel caractère
Qui révèle ainsi ton esprit volontaire ?
Mais quels sont ces espoirs qui te font avancer
Ces fortes convictions dont tu n'es pas lassé
Quels buts poursuis-tu donc qui te motivent ainsi,
Qu'elles sont ces raisons qui te poussent à l'envie ?
J'ai regardé le monde dans sa réalité. Parfois gai, parfois triste, bien souvent simuléEt j'ai compris qu'alors il me faudrait lutter. Que rien nous est acquis, qu'il faut le mériter.Si parfois des faiblesses viennent me faire douter. J'essaye avec sagesse de toujours surmonter.Et d'un revers de main je balaie sur mon seuil, Ce qui en tout instant pourrait-être un écueil.
J'ai regardé le monde dans sa réalité.
Parfois gai, parfois triste, bien souvent simulé
Et j'ai compris qu'alors il me faudrait lutter.
Que rien nous est acquis, qu'il faut le mériter.
Si parfois des faiblesses viennent me faire douter.
J'essaye avec sagesse de toujours surmonter.
Et d'un revers de main je balaie sur mon seuil,
Ce qui en tout instant pourrait-être un écueil.
Mais tu ne le dis pas quelle est cette étoile
Après laquelle tu cours, ou vers qui tu fais voile
Tu restes silencieux sur le profond secret
Qui gît au fond de toi, dont le feu est sacré
Gardes-le ce mystère il est ton bien précieux
Il n'y a rien sur terre ni même dans les cieux
Qui puisse te donner ta force et cet aura
Qui font que tant de gens s'attachent à tes pas.
Il n'est point de secret qu'au fond de moi je cache Simplement cet amour pour le travail bien faitCelui de mes aîeux qui sont morts à la tâche Mais qui ont su garder l'espoir en eux ancré.J'ai fait commme celui dont parle le poète, Vingt fois sur le métier j'ai remis mon ouvrageL'amour m'y a aidé, j'en ai fait ma conquête Et encore aujourd'hui, il est de mes voyages.Je cours après le temps, pas du tout la richesse, Ce temps qui m'est compté et fâne mes attraitsMais qu'importe à présent, j'ai acquis la sagesse, Une ride de plus ne va pas m'affecterJe voudrais cependant laisser un héritage, À ceux qui après mois vont prendre le relais,Leur dire que la vie est un apprentissage, et qu'à chaque matin il est renouvelé.
Il n'est point de secret qu'au fond de moi je cache
Simplement cet amour pour le travail bien fait
Celui de mes aîeux qui sont morts à la tâche
Mais qui ont su garder l'espoir en eux ancré.
J'ai fait commme celui dont parle le poète,
Vingt fois sur le métier j'ai remis mon ouvrage
L'amour m'y a aidé, j'en ai fait ma conquête
Et encore aujourd'hui, il est de mes voyages.
Je cours après le temps, pas du tout la richesse,
Ce temps qui m'est compté et fâne mes attraits
Mais qu'importe à présent, j'ai acquis la sagesse,
Une ride de plus ne va pas m'affecter
Je voudrais cependant laisser un héritage,
À ceux qui après mois vont prendre le relais,
Leur dire que la vie est un apprentissage,
et qu'à chaque matin il est renouvelé.
Je vois tu ne veux pas même céder un pouce
Tu ne veux évoquer ce qui vraiment te pousse
Préférant invoquer ce que d'autres ont fait
Qui les fait ordinaires bien plus que toi tu n'est.
Ton destin sort pourtant de ces vies ordinaires
Animées des valeurs que les peuples ont créées
Tu portes en toi la flamme des destins singuliers
De ceux qui par le monde ont parfois tout changé.
Je respecte ton choix après tout moi qui suis-je
Pour oser audacieux, interpeller ta foi
Je le sais après tout c'est toi qui fait ta loi
Contre ta volonté après tout moi qui puis-je ?
Tu es de ces meneurs au charisme magique
Qui surgissent parfois des époques troublées
Tu conduiras les hommes vers des choix pacifiques
En leur montrant la voie, le chemin de la paix.

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