Les chemins invisibles
Publié le 24 décembre 2025
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Je suis sans trop savoir des chemins invisibles
En quête de lumière, tout autant d’indicible,
Je fais confiance aux mots, ils connaissent la voie,
Ils se moquent surtout des comment, des pourquoi ?
Certains jours ils me plongent dans d’insondables gouffres
Quand parfois ils atteignent d’improbables cimes.
Les lois du hasard gouvernent leurs humeurs
Quand une fois tu vis, et une autre tu meurs.
Sur les routes du tendre ils s’égarent souvent
Ayant le cœur ouvert pour moi aux quatre vents,
Mais bien plus qu’à mon goût ils sont de couleur noire
Quand ils flirtent, trop proches, avec mes désespoirs.
J’ai volé un tapis tissé de tous leurs sens
Dans ce pays des rêves tout parfumé d’encens
Il m’entraîne partout dans ce monde des hommes
Où le plus merveilleux côtoie hélas l’immonde.
Les prochains jours de fête en sont l’illustration
Où vont en bien des lieux s’allumer des lampions,
Tandis que s’entendra ailleurs le bruit des bombes
Et que se creuseront en grand nombre les tombes.
Un grand capharnaüm partout sur la planète
Un vacarme épuisant de cris de joie, de peur
Un chaos consternant, un maelström de peines
Pourtant ici et là, de l’amour dans les veines.
En quête de lumière, tout autant d’indicible,
Je fais confiance aux mots, ils connaissent la voie,
Ils se moquent surtout des comment, des pourquoi ?
Certains jours ils me plongent dans d’insondables gouffres
Quand parfois ils atteignent d’improbables cimes.
Les lois du hasard gouvernent leurs humeurs
Quand une fois tu vis, et une autre tu meurs.
Sur les routes du tendre ils s’égarent souvent
Ayant le cœur ouvert pour moi aux quatre vents,
Mais bien plus qu’à mon goût ils sont de couleur noire
Quand ils flirtent, trop proches, avec mes désespoirs.
J’ai volé un tapis tissé de tous leurs sens
Dans ce pays des rêves tout parfumé d’encens
Il m’entraîne partout dans ce monde des hommes
Où le plus merveilleux côtoie hélas l’immonde.
Les prochains jours de fête en sont l’illustration
Où vont en bien des lieux s’allumer des lampions,
Tandis que s’entendra ailleurs le bruit des bombes
Et que se creuseront en grand nombre les tombes.
Un grand capharnaüm partout sur la planète
Un vacarme épuisant de cris de joie, de peur
Un chaos consternant, un maelström de peines
Pourtant ici et là, de l’amour dans les veines.
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