Les couleurs de lordinaire.
Publié le 03 août 2025
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J’ai pris ce matin un chemin
Les cailloux roulaient sous mes pieds
Levant les yeux vers le soleil
Je l’ai vu à l’Est se lever.
Quand l’horizon s’est enflammé
Au fond de moi j’ai ressenti
Naître comme une bouffée
À la fois d’énergie et d’envie.
J’avais un poids sur les épaules
Et le voilà évanoui
J’ai endossé un nouveau rôle
C’est de dire merci à la vie.
Il a suffit que mes deux pieds
Retrouvent le contact du sol
Et que ma tête un peu folle
Renoue un peu avec le ciel.
J’ai respiré un air nouveau
Un air pourtant éternel
J’avais au fond de mon cerveau
Un chant joyeux, odeur de miel.
Je suis rentré à la maison
J’y voyais bien plus clair
Sous le pâle de la raison
La passion reprenait du nerf.
Sous les couleurs de l’ordinaire
Le bonheur avait pris pension.
Les cailloux roulaient sous mes pieds
Levant les yeux vers le soleil
Je l’ai vu à l’Est se lever.
Quand l’horizon s’est enflammé
Au fond de moi j’ai ressenti
Naître comme une bouffée
À la fois d’énergie et d’envie.
J’avais un poids sur les épaules
Et le voilà évanoui
J’ai endossé un nouveau rôle
C’est de dire merci à la vie.
Il a suffit que mes deux pieds
Retrouvent le contact du sol
Et que ma tête un peu folle
Renoue un peu avec le ciel.
J’ai respiré un air nouveau
Un air pourtant éternel
J’avais au fond de mon cerveau
Un chant joyeux, odeur de miel.
Je suis rentré à la maison
J’y voyais bien plus clair
Sous le pâle de la raison
La passion reprenait du nerf.
Sous les couleurs de l’ordinaire
Le bonheur avait pris pension.

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