Les derniers lamentos.
Publié le 03 août 2025
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Les derniers lamentos qu’écrivent les poètes
Comme les cris d’alerte que poussent les savants
Ce sont leurs chants du cygne avant que tout ne pète
Que disparaissent un monde tel qu’il était avant.
S’ils pleurent en pensant à ce qui nous attend
Ces pleurs ne sont pour eux mais bien pour leurs enfants.
Ils ne seront plus là pour voir surgir le pire
Car ils auront rendu tous leur dernier soupir.
N’ont ils pas le devoir de célébrer ce monde
Et toutes ses merveilles et toute sa beauté
Mais ne doivent-ils pas aussi dire l’immonde
Qui risque d’emporter toute l’humanité ?
Je ressens une urgence celle que sentent aussi
Dit-on les animaux avant des catastrophes
Celles que subiront s’ils n’ont pas réussi
Les hommes à réagir à ces apostrophes.
Lors que tout est connu et qu’ils savent quoi faire
Pour éviter sur eux que s’abatte l’enfer,
Ils s’obstinent toujours à faire des affaires
Et à se battre entre eux, ça ils savent le faire !
Qu’importe si mes vers n’enchantent vos oreilles
Qu’importe s’ils ajoutent à vos propres angoisses
Je voudrais vous conter des monts et des merveilles
Mais je crains du futur la très hideuse face.
Comme les cris d’alerte que poussent les savants
Ce sont leurs chants du cygne avant que tout ne pète
Que disparaissent un monde tel qu’il était avant.
S’ils pleurent en pensant à ce qui nous attend
Ces pleurs ne sont pour eux mais bien pour leurs enfants.
Ils ne seront plus là pour voir surgir le pire
Car ils auront rendu tous leur dernier soupir.
N’ont ils pas le devoir de célébrer ce monde
Et toutes ses merveilles et toute sa beauté
Mais ne doivent-ils pas aussi dire l’immonde
Qui risque d’emporter toute l’humanité ?
Je ressens une urgence celle que sentent aussi
Dit-on les animaux avant des catastrophes
Celles que subiront s’ils n’ont pas réussi
Les hommes à réagir à ces apostrophes.
Lors que tout est connu et qu’ils savent quoi faire
Pour éviter sur eux que s’abatte l’enfer,
Ils s’obstinent toujours à faire des affaires
Et à se battre entre eux, ça ils savent le faire !
Qu’importe si mes vers n’enchantent vos oreilles
Qu’importe s’ils ajoutent à vos propres angoisses
Je voudrais vous conter des monts et des merveilles
Mais je crains du futur la très hideuse face.

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