Les lendemains qui chantent seraient-ils tous perdus ?

Voilà bien trop pour qui la cause est entendue.
Mais si notre avenir est à ce point pourri
Que croire et que faire de nos vies aujourd’hui ?

Voilà la porte ouverte à tous débordements 
Où passe la morale quand c’est la fin des temps ?
Je crains de deviner où ira la dérive 
Quand il n’y aura plus doute sur ce qui nous arrive.

Car l’homme est ainsi fait que deux choses le tiennent
La peur de la sanction et l’espoir qu’il advienne
Un monde bien plus beau offert à ses enfants
Enlever l’une et l’autre, et c’est l’appel du sang.