Les plus belles couleurs.
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
5 lecture
(0)
Nos bras lancent parfois comme des S.O.S.
Quand ce ne sont nos yeux, mais tout seuls on ne cesse
D’être toute la vie enfermés en coquille,
Prisonniers d’une chair faite de pacotille.
Comment la supporter l’infinie solitude
Qui est le lot commun, à même magnitude ?
Vient toujours un moment où l’on tendra la main
Amour ou amitié, on vit tous de ce pain.
De ce genre de liens, chacun en fait des tresses
Pour ne pas perdre pied quand s’en vient la détresse.
Les cordes qui nous lient nous tiennent aussi debout
Nous servent aussi de guide, nous accompagnent au bout.
Si nous ne trouvons pas ces atomes crochus
Alors malheur à nous, à nous anges déchus.
Nous qui rampons sur terre qui va nous relever,
Sinon le grand amour dont on a tous rêvé ?
Ne laissons pas crever quelqu’un de solitude.
Abandonné de tous, il en prend l’habitude,
Et se laisse glisser dans un monde sans âme
Privé de la chaleur de la petite flamme
Celle qui chaque fois s’allume dans un cœur
Lorsqu’il sent que de lui un autre se soucie
Celle qui donne au monde ses plus belles couleurs,
Quand l’autre vous sourit, on lui dira merci !
Quand ce ne sont nos yeux, mais tout seuls on ne cesse
D’être toute la vie enfermés en coquille,
Prisonniers d’une chair faite de pacotille.
Comment la supporter l’infinie solitude
Qui est le lot commun, à même magnitude ?
Vient toujours un moment où l’on tendra la main
Amour ou amitié, on vit tous de ce pain.
De ce genre de liens, chacun en fait des tresses
Pour ne pas perdre pied quand s’en vient la détresse.
Les cordes qui nous lient nous tiennent aussi debout
Nous servent aussi de guide, nous accompagnent au bout.
Si nous ne trouvons pas ces atomes crochus
Alors malheur à nous, à nous anges déchus.
Nous qui rampons sur terre qui va nous relever,
Sinon le grand amour dont on a tous rêvé ?
Ne laissons pas crever quelqu’un de solitude.
Abandonné de tous, il en prend l’habitude,
Et se laisse glisser dans un monde sans âme
Privé de la chaleur de la petite flamme
Celle qui chaque fois s’allume dans un cœur
Lorsqu’il sent que de lui un autre se soucie
Celle qui donne au monde ses plus belles couleurs,
Quand l’autre vous sourit, on lui dira merci !

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.