Les rideaux déchirés.
Publié le 03 août 2025
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Les rideaux déchirés de mes pauvres illusions
D’une vie devenue aussi vide de sens
Tombent tous en lambeaux en triste conclusion,
Puisqu’il n’y a plus d’issue, à cette existence.
Puisqu’il n’y a plus d’après, tout chargé de promesses
Celles qu’à leurs enfants, tous les parents adressent.
Puisque dans le futur, il paraît que tout cesse
Cette seule idée me tourmente et me blesse.
Je vis dans la clarté d’un beau soleil d’été
Mais tout environné des ombres invisibles
Des oiseaux de malheur aux pépiements terribles
Chargés de vils augures, aux relents très mauvais.
On connaît des présents encombrés d’un passé
Qui pèse à chaque instant par son ombre portée.
Moi je vis chaque jour sous le poids d’un futur
Qui en gâte la saveur, tant je le sais trop dur.
Tant je suis impuissant à le pouvoir changer
Tant je crois que les dés, en sont déjà jetés
Tant je vois les puissants rebelles à cette idée
Tant je vois, mais en vain, tant de gens s’agiter.
Alors je fais semblant de croire au bonheur
Je vis au jour le jour, sans penser aux erreurs
Savourant un présent tout empli de chaleur
En serrant dans mes bras, celle si chère à mon coeur.
D’une vie devenue aussi vide de sens
Tombent tous en lambeaux en triste conclusion,
Puisqu’il n’y a plus d’issue, à cette existence.
Puisqu’il n’y a plus d’après, tout chargé de promesses
Celles qu’à leurs enfants, tous les parents adressent.
Puisque dans le futur, il paraît que tout cesse
Cette seule idée me tourmente et me blesse.
Je vis dans la clarté d’un beau soleil d’été
Mais tout environné des ombres invisibles
Des oiseaux de malheur aux pépiements terribles
Chargés de vils augures, aux relents très mauvais.
On connaît des présents encombrés d’un passé
Qui pèse à chaque instant par son ombre portée.
Moi je vis chaque jour sous le poids d’un futur
Qui en gâte la saveur, tant je le sais trop dur.
Tant je suis impuissant à le pouvoir changer
Tant je crois que les dés, en sont déjà jetés
Tant je vois les puissants rebelles à cette idée
Tant je vois, mais en vain, tant de gens s’agiter.
Alors je fais semblant de croire au bonheur
Je vis au jour le jour, sans penser aux erreurs
Savourant un présent tout empli de chaleur
En serrant dans mes bras, celle si chère à mon coeur.

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