Les yeux et le cœur ouverts.
Publié le 03 août 2025
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Le chemin est propice à l’épanouissement
Quand on ouvre ses yeux à l’émerveillement.
Parfois ce qu’il nous offre, l’évanouissement,
N’est que le paroxysme de puissants sentiments.
Quand l’âme est sensible et le cœur avenant
On tremble et on frissonne tout comme au printemps.
Mais un coeur qui se ferme, un esprit méfiant
Et voilà que le monde devient froid et méchant.
Certes elle égratigne mais la rose est belle
En dépit des épines sur sa tige, à la pelle.
Car il suffit d’un gant pour ôter ses défenses
La joie de la humer, peut alors, être immense.
Certes il est ardu le chemin à gravir
Le souffle est parfois court, le mollet peut faiblir.
Mais atteint le sommet, combien va vous ravir
La vue, le paysage qu’on se verra offrir.
Certes sont incertains les pas qu’on fait vers l’autre,
Il arrive parfois qu’on échoue, qu’on se vautre.
Mais quand une personne vient vous tenir la main
Combien s’éclairent alors les prochains lendemains !
Ne vois pas dans le ciel seulement les nuages
Qui peuvent l’assombrir lorsque s’en vient l’orage.
Admire aussi l’azur, les jours de grand soleil
Et goûte à ce monde, ainsi qu’à ses merveilles.
Quand on ouvre ses yeux à l’émerveillement.
Parfois ce qu’il nous offre, l’évanouissement,
N’est que le paroxysme de puissants sentiments.
Quand l’âme est sensible et le cœur avenant
On tremble et on frissonne tout comme au printemps.
Mais un coeur qui se ferme, un esprit méfiant
Et voilà que le monde devient froid et méchant.
Certes elle égratigne mais la rose est belle
En dépit des épines sur sa tige, à la pelle.
Car il suffit d’un gant pour ôter ses défenses
La joie de la humer, peut alors, être immense.
Certes il est ardu le chemin à gravir
Le souffle est parfois court, le mollet peut faiblir.
Mais atteint le sommet, combien va vous ravir
La vue, le paysage qu’on se verra offrir.
Certes sont incertains les pas qu’on fait vers l’autre,
Il arrive parfois qu’on échoue, qu’on se vautre.
Mais quand une personne vient vous tenir la main
Combien s’éclairent alors les prochains lendemains !
Ne vois pas dans le ciel seulement les nuages
Qui peuvent l’assombrir lorsque s’en vient l’orage.
Admire aussi l’azur, les jours de grand soleil
Et goûte à ce monde, ainsi qu’à ses merveilles.

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