lheure propice.
Publié le 04 août 2025
2 minutes de lecture
8 lecture
(0)
Hier soir c’est curieux pile à onze heure douze
M’a saisi sans tambour comme un coup de blues
Quand d’un instant à l’autre , de plus sans trompette
La tristesse m’a pris, c’est le gris dans ma tête.
Plus d’envie de lutter, plus désir de me battre
Il ne reste du feu que des cendres dans l’âtre.
Dansent en farfadets tous les mauvais augures
Chantent les « à quoi bon » et les « c’est bien trop dur! ».
Puis je me suis couché bien plus tard dans le soir
La tête et l’esprit tout remplis d’idées noires
Me disant que bientôt c’est la fin de l’histoire
Presque résigné à dire à tous « au revoir »
Ce matin, étonnant à six heures pétantes
Je me suis retrouvé en forme épatantes
La vie semblait parée de couleurs éclatantes
La sentais tout en moi comme pétaradante.
Envolés tous les doutes, évanouies les pensées
Qui peignaient tout de sombre et les jours me gâtaient
Même mes vieilles dents ne semblaient plus branlantes
Et mes jambes soudain paraissaient plus allantes.
J’ai donc changé d’horloge, plus de onze heure douze
Ce moment trop propice à un retour du blues
Elle indique toujours un six heure vainqueur
Je ne vis désormais tous les jours qu’à cette heure !
M’a saisi sans tambour comme un coup de blues
Quand d’un instant à l’autre , de plus sans trompette
La tristesse m’a pris, c’est le gris dans ma tête.
Plus d’envie de lutter, plus désir de me battre
Il ne reste du feu que des cendres dans l’âtre.
Dansent en farfadets tous les mauvais augures
Chantent les « à quoi bon » et les « c’est bien trop dur! ».
Puis je me suis couché bien plus tard dans le soir
La tête et l’esprit tout remplis d’idées noires
Me disant que bientôt c’est la fin de l’histoire
Presque résigné à dire à tous « au revoir »
Ce matin, étonnant à six heures pétantes
Je me suis retrouvé en forme épatantes
La vie semblait parée de couleurs éclatantes
La sentais tout en moi comme pétaradante.
Envolés tous les doutes, évanouies les pensées
Qui peignaient tout de sombre et les jours me gâtaient
Même mes vieilles dents ne semblaient plus branlantes
Et mes jambes soudain paraissaient plus allantes.
J’ai donc changé d’horloge, plus de onze heure douze
Ce moment trop propice à un retour du blues
Elle indique toujours un six heure vainqueur
Je ne vis désormais tous les jours qu’à cette heure !

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.