Merci.
Publié le 03 août 2025
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Le temps m’a demandé mais que veux-tu de moi ?
Que tu m’accordes plus et d’années et de mois.
Je t’en ai plus donné qu’à beaucoup d’autres humains
Mais je ne puis te dire ce que sera demain.
La chance a son tour m’a dit mais qu’attends-tu ?
Que tu me souris plus, dispense tes bienfaits.
Je t’en ai dispensé bien plus qu’à bien des gens
Tu sais que la roue tourne, disette ou argent.
L’amour m’a murmuré après quoi tu soupires ?
C’est après ma jeunesse, j’étais sous ton empire.
Je suis encore là dans chacun des élans
Qu’ont vers toi et ta femme ainsi que tes enfants.
La santé s’est penchée pour me dire mais quoi ?
Puisses-tu de mon corps prendre bien soin tu vois.
De quoi peux-tu te plaindre, au même âge tu sais
Bien d’autres que toi même sont bien plus blessés.
Alors je me suis dit à qui fais-tu reproche ?
Tu en as pour ta part bien assez dans tes poches.
Le temps, l’amour, la chance tout comme la santé
Et ce plus que d’autres, ont su bien te gâter.
Mais je ne suis qu’un homme et l’homme est ainsi
Qu’il en demande encore et n’est jamais ravi.
Quel est celui un jour qui s’est juste assis
Pour dire à sa vie, c’est assez, et merci…
Que tu m’accordes plus et d’années et de mois.
Je t’en ai plus donné qu’à beaucoup d’autres humains
Mais je ne puis te dire ce que sera demain.
La chance a son tour m’a dit mais qu’attends-tu ?
Que tu me souris plus, dispense tes bienfaits.
Je t’en ai dispensé bien plus qu’à bien des gens
Tu sais que la roue tourne, disette ou argent.
L’amour m’a murmuré après quoi tu soupires ?
C’est après ma jeunesse, j’étais sous ton empire.
Je suis encore là dans chacun des élans
Qu’ont vers toi et ta femme ainsi que tes enfants.
La santé s’est penchée pour me dire mais quoi ?
Puisses-tu de mon corps prendre bien soin tu vois.
De quoi peux-tu te plaindre, au même âge tu sais
Bien d’autres que toi même sont bien plus blessés.
Alors je me suis dit à qui fais-tu reproche ?
Tu en as pour ta part bien assez dans tes poches.
Le temps, l’amour, la chance tout comme la santé
Et ce plus que d’autres, ont su bien te gâter.
Mais je ne suis qu’un homme et l’homme est ainsi
Qu’il en demande encore et n’est jamais ravi.
Quel est celui un jour qui s’est juste assis
Pour dire à sa vie, c’est assez, et merci…

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