Merci !
Publié le 03 août 2025
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Merci !
Merci aux baladins, aux poètes, aux artistes
Sans lesquels le chemin de nos vies serait triste.
Merci à ces rêveurs, créateurs de beauté
Sans qui nous ne saurions tant d’autres vérités.
Merci à ces savants inspirés par la science
Sans qui serait mystère notre existence.
Merci à ces chercheurs, inventeurs de génie
Sans qui ne comprendrions, quel miracle est la vie.
Merci aux éleveurs et aux cultivateurs
Sans qui la faim serait tout au cœur de nos peurs.
Merci aux paysans, courageux nourrisseurs
Sans lesquels seraient vides, nos panses de mangeurs.
Mais je ne dis merci, à ces politiciens
Qui rongent le pouvoir, comme son os un chien.
Je ne dis pas merci, à tous ces tacticiens
Très peu sont parmi eux, homme ou femme de bien.
Ne dis non plus merci, à ces industriels
Qui aiment le profit, c’est leur septième ciel.
Non je ne dis merci à tous ces pollueurs
Qui tuent à petit feu tout ce que j’ai à coeur.
Pas plus ne dis merci, à ces banquiers cyniques
Qui n’ont pour religion que celle de leur fric.
Vraiment ne dis merci, à cette triste clique
Qui sont de leur argent les seuls vrais fanatiques.
Je crierai bien merci, comme on dit pitié !
Mais à qui ma prière, pourrais-je l’adresser ?
Les hommes sont ainsi qu’ils sont aveugles et sourds
S’ils veulent se sauver, il n’y a que l’amour.
Merci aux baladins, aux poètes, aux artistes
Sans lesquels le chemin de nos vies serait triste.
Merci à ces rêveurs, créateurs de beauté
Sans qui nous ne saurions tant d’autres vérités.
Merci à ces savants inspirés par la science
Sans qui serait mystère notre existence.
Merci à ces chercheurs, inventeurs de génie
Sans qui ne comprendrions, quel miracle est la vie.
Merci aux éleveurs et aux cultivateurs
Sans qui la faim serait tout au cœur de nos peurs.
Merci aux paysans, courageux nourrisseurs
Sans lesquels seraient vides, nos panses de mangeurs.
Mais je ne dis merci, à ces politiciens
Qui rongent le pouvoir, comme son os un chien.
Je ne dis pas merci, à tous ces tacticiens
Très peu sont parmi eux, homme ou femme de bien.
Ne dis non plus merci, à ces industriels
Qui aiment le profit, c’est leur septième ciel.
Non je ne dis merci à tous ces pollueurs
Qui tuent à petit feu tout ce que j’ai à coeur.
Pas plus ne dis merci, à ces banquiers cyniques
Qui n’ont pour religion que celle de leur fric.
Vraiment ne dis merci, à cette triste clique
Qui sont de leur argent les seuls vrais fanatiques.
Je crierai bien merci, comme on dit pitié !
Mais à qui ma prière, pourrais-je l’adresser ?
Les hommes sont ainsi qu’ils sont aveugles et sourds
S’ils veulent se sauver, il n’y a que l’amour.

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