Mes peurs et mes rêves.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
5 lecture
(0)
Je n’aime, à dire vrai, pas trop la solitude
A part lorsque j’écris, qu’il me faut du silence.
Je sors de cette bulle, où j’ai mes habitudes
Pour laisser, sans filet, s’exprimer ma conscience.
Mon corps reste et demeure entouré de ces choses
Qui forment ce réel qui pour moi est fardeau.
Mon esprit quant à lui, fuit au pays des mots
Où n’existe vraiment que tout ce que j’y ose.
Je n’y suis jamais seul, j’y retrouve tous ceux
Qui m’ont accompagné tout au long de ma vie.
Les mots, comme les gens, qui habitent ici
Au creux de ma mémoire, où je suis avec eux.
Je transforme à mon gré tout ce que je peux voir
Ce qui est difforme, ce qui est merveilleux
Deviennent autre chose que ce que voient mes yeux
Les mots sont des baguettes avec de grands pouvoirs !
Quand j’écris, je me berce, à la vague des mots
Ils empruntent un rythme, cadence et tempo,
Tels des illusionnistes, ils ouvrent sur des mondes
Où mes peurs et mes rêves sans hésiter se fondent.
A part lorsque j’écris, qu’il me faut du silence.
Je sors de cette bulle, où j’ai mes habitudes
Pour laisser, sans filet, s’exprimer ma conscience.
Mon corps reste et demeure entouré de ces choses
Qui forment ce réel qui pour moi est fardeau.
Mon esprit quant à lui, fuit au pays des mots
Où n’existe vraiment que tout ce que j’y ose.
Je n’y suis jamais seul, j’y retrouve tous ceux
Qui m’ont accompagné tout au long de ma vie.
Les mots, comme les gens, qui habitent ici
Au creux de ma mémoire, où je suis avec eux.
Je transforme à mon gré tout ce que je peux voir
Ce qui est difforme, ce qui est merveilleux
Deviennent autre chose que ce que voient mes yeux
Les mots sont des baguettes avec de grands pouvoirs !
Quand j’écris, je me berce, à la vague des mots
Ils empruntent un rythme, cadence et tempo,
Tels des illusionnistes, ils ouvrent sur des mondes
Où mes peurs et mes rêves sans hésiter se fondent.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.