Mon cœur à la dérive.
Publié le 03 août 2025
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Longtemps je fus bercé de l’espoir trop fragile
De voir l’humanité prendre le bon chemin
Je me disais surtout que tous les imbéciles
Elle saurait ne prendre aussi fort par la main.
Ce fut tout le contraire ! Elle semble ne comprendre,
N’accorder ses faveurs, qu’à ceux qu’il faudrait pendre,
N’écouter que les voix qui la conduisent au pire,
Ne choisir que tous ceux qu’il lui faudrait maudire.
Mon cœur à la dérive, hélas je n’y crois plus !
Après les grandes guerres on nous avait promis
Des lendemains qui chantent, et plus de ces conflits.
La pause fut bien courte de quelques décennies
Avant le grand retour des pires infamies.
On parlait de progrès grâce aux technologies
Que ce serait la fin des grandes maladies
Hélas pas de progrès des âmes corrompues
L’humanité souvent a des cotés qui puent !
Mon cœur à la dérive, hélas je n’y crois plus !
Il semblait toutefois que l’on ait mieux compris
Ce grand jardin d’éden qu’est notre paradis
Qu’il fallait prendre soin des sources de la vie
Que la planète bleue faisait à tous envie.
Mais vois comme on saccage les mers, les océans
Comment l’on dénature et pollue pour l’argent
Comment l’air qu’on respire est devenu poison
Et comment le temps change, y a plus de saisons.
Mon cœur à la dérive, hélas tout est foutu !
De voir l’humanité prendre le bon chemin
Je me disais surtout que tous les imbéciles
Elle saurait ne prendre aussi fort par la main.
Ce fut tout le contraire ! Elle semble ne comprendre,
N’accorder ses faveurs, qu’à ceux qu’il faudrait pendre,
N’écouter que les voix qui la conduisent au pire,
Ne choisir que tous ceux qu’il lui faudrait maudire.
Mon cœur à la dérive, hélas je n’y crois plus !
Après les grandes guerres on nous avait promis
Des lendemains qui chantent, et plus de ces conflits.
La pause fut bien courte de quelques décennies
Avant le grand retour des pires infamies.
On parlait de progrès grâce aux technologies
Que ce serait la fin des grandes maladies
Hélas pas de progrès des âmes corrompues
L’humanité souvent a des cotés qui puent !
Mon cœur à la dérive, hélas je n’y crois plus !
Il semblait toutefois que l’on ait mieux compris
Ce grand jardin d’éden qu’est notre paradis
Qu’il fallait prendre soin des sources de la vie
Que la planète bleue faisait à tous envie.
Mais vois comme on saccage les mers, les océans
Comment l’on dénature et pollue pour l’argent
Comment l’air qu’on respire est devenu poison
Et comment le temps change, y a plus de saisons.
Mon cœur à la dérive, hélas tout est foutu !

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