Mon instrument, tout un orchestre.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
La page est un violon aux cordes invisibles
Et mes doigts un archet en quête de sensible
Quand je trouve l’accord alors les mots jaillissent
Pour nourrir le poème d’instants de délice.
La page est un piano au clavier improbable
Mes doigts cherchent les touches au hasard sur la table
Quand me vient le tempo alors les mots s’emballent
Et coulent de ma plume dans un bruit de cymbales.
La page est un tambour qui peau tendue résonne
Mes doigts y tambourinent au point que je m’étonne
Quand ils trouvent un rythme qui convient à mes mots
Qui répondent bien vite à l’heureux staccato.
La page est la portée où se perchent mes mots
Dociles sur les lignes comme font les oiseaux
Quand mes doigts les alignent en de gentils troupeaux
Le poème qui nait est fruit d’un bel écho .
Et mes doigts un archet en quête de sensible
Quand je trouve l’accord alors les mots jaillissent
Pour nourrir le poème d’instants de délice.
La page est un piano au clavier improbable
Mes doigts cherchent les touches au hasard sur la table
Quand me vient le tempo alors les mots s’emballent
Et coulent de ma plume dans un bruit de cymbales.
La page est un tambour qui peau tendue résonne
Mes doigts y tambourinent au point que je m’étonne
Quand ils trouvent un rythme qui convient à mes mots
Qui répondent bien vite à l’heureux staccato.
La page est la portée où se perchent mes mots
Dociles sur les lignes comme font les oiseaux
Quand mes doigts les alignent en de gentils troupeaux
Le poème qui nait est fruit d’un bel écho .

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.