Nos corps sont météores.
Publié le 03 août 2025
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Dans ce ciel de nuit où brillent les étoiles
Tout paraît éternel sur cette grande toile.
Quand tout est mouvement quand tout est changement
Dans cette illusion que s’est figé le temps.
Les hommes de tous temps ont regardé le ciel
En espérant y voir des leçons éternelles.
Mais ils savent à présent qu’y règnent aussi des lois
Quelques unes étrangères au monde de chez moi.
Nos corps sont météores ou étoiles filantes
Trop peu d’années vivants, ils restent dans l’attente
De réponses impossibles à qui est de passage
Ne vouloir le comprendre c’est ne se montrer sage.
Que peut le papillon ou même la cigale
Dans ce court laps de temps où ils mènent le bal,
Comprendre de la terre ou bien de l’univers ?
Nous sommes à cette échelle guère plus que des vers.
Ne suffit une vie à percer les mystères
Juste en apercevoir peu à travers le verre.
Le peu que j’ai compris comment donc le transmettre
C’est là une question à poser à un maître.
Dans le cœur du poète une flamme de vie
Crie ne perds pas de temps, de ce temps dont tu jouis
N’oublie donc pas d’aimer plus que tu n’étudies
Car aucune étoile n’empêchera ta nuit.
Tout paraît éternel sur cette grande toile.
Quand tout est mouvement quand tout est changement
Dans cette illusion que s’est figé le temps.
Les hommes de tous temps ont regardé le ciel
En espérant y voir des leçons éternelles.
Mais ils savent à présent qu’y règnent aussi des lois
Quelques unes étrangères au monde de chez moi.
Nos corps sont météores ou étoiles filantes
Trop peu d’années vivants, ils restent dans l’attente
De réponses impossibles à qui est de passage
Ne vouloir le comprendre c’est ne se montrer sage.
Que peut le papillon ou même la cigale
Dans ce court laps de temps où ils mènent le bal,
Comprendre de la terre ou bien de l’univers ?
Nous sommes à cette échelle guère plus que des vers.
Ne suffit une vie à percer les mystères
Juste en apercevoir peu à travers le verre.
Le peu que j’ai compris comment donc le transmettre
C’est là une question à poser à un maître.
Dans le cœur du poète une flamme de vie
Crie ne perds pas de temps, de ce temps dont tu jouis
N’oublie donc pas d’aimer plus que tu n’étudies
Car aucune étoile n’empêchera ta nuit.

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