Océan dignorance.
Publié le 03 août 2025
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Une chose est acquise, la règle et l’exception.
Au milieu des graviers brille une pépite.
Parmi des millions d’hommes, quand un génie habite.
L’océan d’ignorance voit surgir un lampion.
Mais alors qu’autrefois il nous montrait la voie
Que suivaient subjugués tous les hommes ma foi
Il semble qu’à présent ceux qui deviennent rois
Ne soient plus loin de là, les plus géniaux tu vois.
Ils parlent haut et fort comme des matamores
Ils prétendent avoir des réponses à nos maux
Désignant ennemis l’étranger et les maures
N’ayant pour les élites pas assez de gros mots.
Ils voient en blanc et noir un monde bien binaire
De la complexité ils ne font de manières
Tout devient vraiment simple à bien les écouter
Il faut hors des frontières les gêneurs tous bouter.
Les peuples fascinés se disent c’est bien sûr
Résoudre nos problèmes ce n’est donc pas si dur
Avec ces leaders tout sera plus facile
Les autres nous prenaient tous pour des imbéciles.
Quand partout dans le monde ils se mettent en rang
Bien contraints et forcés par tous ces beaux tyrans
Qui n’aspirent en fait qu’à se sentir très grands
Combien devront verser lors des larmes de sang ?
Les hommes d’autrefois éprouvaient du respect
Pour tous les grands savants et les hommes de paix.
Quand plus que jamais las en a besoin la terre
Ils n’acclament à présent que les plus va-t-en guerre.
Violence et bêtise dominent en ce temps
Aggravées je le crains par les réseaux sociaux
Où les propos tenus sont souvent consternants
Où les mots prononcés sont tous des noms d’oiseaux.
Lorsque dans une classe parmi le brouhaha
On n’entend plus le maître délivrer la leçon
Lorsque dans un pays partout c’est la bronca
Qu’on n’entend plus vraiment la voie de la raison
Permettez moi alors de nourrir quelque doute
Sur ce qui nous attend après tous leurs discours
Comprenez- moi un peu lorsque fort je redoute
Le monde après lequel j’en vois bien trop qui courent.
Au milieu des graviers brille une pépite.
Parmi des millions d’hommes, quand un génie habite.
L’océan d’ignorance voit surgir un lampion.
Mais alors qu’autrefois il nous montrait la voie
Que suivaient subjugués tous les hommes ma foi
Il semble qu’à présent ceux qui deviennent rois
Ne soient plus loin de là, les plus géniaux tu vois.
Ils parlent haut et fort comme des matamores
Ils prétendent avoir des réponses à nos maux
Désignant ennemis l’étranger et les maures
N’ayant pour les élites pas assez de gros mots.
Ils voient en blanc et noir un monde bien binaire
De la complexité ils ne font de manières
Tout devient vraiment simple à bien les écouter
Il faut hors des frontières les gêneurs tous bouter.
Les peuples fascinés se disent c’est bien sûr
Résoudre nos problèmes ce n’est donc pas si dur
Avec ces leaders tout sera plus facile
Les autres nous prenaient tous pour des imbéciles.
Quand partout dans le monde ils se mettent en rang
Bien contraints et forcés par tous ces beaux tyrans
Qui n’aspirent en fait qu’à se sentir très grands
Combien devront verser lors des larmes de sang ?
Les hommes d’autrefois éprouvaient du respect
Pour tous les grands savants et les hommes de paix.
Quand plus que jamais las en a besoin la terre
Ils n’acclament à présent que les plus va-t-en guerre.
Violence et bêtise dominent en ce temps
Aggravées je le crains par les réseaux sociaux
Où les propos tenus sont souvent consternants
Où les mots prononcés sont tous des noms d’oiseaux.
Lorsque dans une classe parmi le brouhaha
On n’entend plus le maître délivrer la leçon
Lorsque dans un pays partout c’est la bronca
Qu’on n’entend plus vraiment la voie de la raison
Permettez moi alors de nourrir quelque doute
Sur ce qui nous attend après tous leurs discours
Comprenez- moi un peu lorsque fort je redoute
Le monde après lequel j’en vois bien trop qui courent.

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