Ombres et lumières.
Publié le 03 août 2025
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Un rayon de soleil qui à l’aube surgit
Est comme à chaque fois, un enfant de l’espoir
Et lorsqu’il s’en va, lorsque tombe le soir
La crainte en nous se lève, que s’en aille la vie.
Nous sommes les jouets des ombres et des lumières
Le sombre nous déplaît, le chassent nos prières
Nous louons bien plutôt les bienfaits du soleil
De l’aurore au coucher tant il nous émerveille.
Il est pourtant des nuits que nous aimons propices
À abriter l’amour et même ses supplices
Il existe dans l’ombre aussi de ces fraîcheurs
Qui protègent nos peaux, des trop fortes ardeurs.
Le soleil se montre lui aussi parfois impitoyable
Que ce soit dans le sud ou les déserts de sable
Il peut tout dessécher, tout brûler jusqu’aux os
S’il frappe de ces sols, qui ne sont gorgés d’eau.
Nous comprenons ce monde à l’aune de nos vœux
On le voudrait conforme, à tout ce que l’on veut
À force de le tordre, pour qu’il nous serve au mieux
Nous parvenons à faire, qu’il nous sera odieux.
Nous sommes les jouets des ombres et des lumières
Tant d’ombres sont en nous, dont nous ne sommes fiers
En nombre parmi nous les apprentis du diable
La fin on la devine, est-elle inéluctable ?
Est comme à chaque fois, un enfant de l’espoir
Et lorsqu’il s’en va, lorsque tombe le soir
La crainte en nous se lève, que s’en aille la vie.
Nous sommes les jouets des ombres et des lumières
Le sombre nous déplaît, le chassent nos prières
Nous louons bien plutôt les bienfaits du soleil
De l’aurore au coucher tant il nous émerveille.
Il est pourtant des nuits que nous aimons propices
À abriter l’amour et même ses supplices
Il existe dans l’ombre aussi de ces fraîcheurs
Qui protègent nos peaux, des trop fortes ardeurs.
Le soleil se montre lui aussi parfois impitoyable
Que ce soit dans le sud ou les déserts de sable
Il peut tout dessécher, tout brûler jusqu’aux os
S’il frappe de ces sols, qui ne sont gorgés d’eau.
Nous comprenons ce monde à l’aune de nos vœux
On le voudrait conforme, à tout ce que l’on veut
À force de le tordre, pour qu’il nous serve au mieux
Nous parvenons à faire, qu’il nous sera odieux.
Nous sommes les jouets des ombres et des lumières
Tant d’ombres sont en nous, dont nous ne sommes fiers
En nombre parmi nous les apprentis du diable
La fin on la devine, est-elle inéluctable ?

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