Où est la poésie ?
Publié le 03 août 2025
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Dans ce monde en souffrance où est la poésie
Trop d’images tourmentent nos âmes et cœurs meurtris
Quand tout n’est que violence, quand résonnent les cris
Qui entre en résonance avec le beau en lui ?
Dans ces rais de lumière où dansent des poussières
Dans ces perles de pluie le long de la gouttière
Dans le souffle du vent qui passe sur les feuilles
Dans l’eau au creux des mains lorsque tu la recueilles.
Sous le mépris des grands où est la poésie
Quand la bêtise avance et que tout elle détruit
Quand les lois du marché écrasent les petits
Qui ressent dans son coeur ce qui encore y luit ?
Un sourire esquissé au coin de jolies lèvres
Une main soulevée pour la douce caresse
Un geste amorcé même de façon brève
Un bras si protecteur qui vous serre et vous presse.
Sous le poids de la haine où est la poésie
Sous la loi de la guerre qui souille tant de vies
Quand tout n’est que rejet, quand on se sent trahi
Qui entend cette voix, ce chant de poésie ?
Le sourd clapotement de l’eau sur la jetée
Les perles du rideau par la brise agitées
Le cri du nourrisson quand il est affamé
Le chant de ces oiseaux par un beau jour d’été.
Si elle disparaît un jour de cette terre
Alors assurément nous serons en enfer
S’il n’y a plus de fragile, s’il n’y a plus de subtil
Si le monde n’est plus qu’une chose immobile.
Trop d’images tourmentent nos âmes et cœurs meurtris
Quand tout n’est que violence, quand résonnent les cris
Qui entre en résonance avec le beau en lui ?
Dans ces rais de lumière où dansent des poussières
Dans ces perles de pluie le long de la gouttière
Dans le souffle du vent qui passe sur les feuilles
Dans l’eau au creux des mains lorsque tu la recueilles.
Sous le mépris des grands où est la poésie
Quand la bêtise avance et que tout elle détruit
Quand les lois du marché écrasent les petits
Qui ressent dans son coeur ce qui encore y luit ?
Un sourire esquissé au coin de jolies lèvres
Une main soulevée pour la douce caresse
Un geste amorcé même de façon brève
Un bras si protecteur qui vous serre et vous presse.
Sous le poids de la haine où est la poésie
Sous la loi de la guerre qui souille tant de vies
Quand tout n’est que rejet, quand on se sent trahi
Qui entend cette voix, ce chant de poésie ?
Le sourd clapotement de l’eau sur la jetée
Les perles du rideau par la brise agitées
Le cri du nourrisson quand il est affamé
Le chant de ces oiseaux par un beau jour d’été.
Si elle disparaît un jour de cette terre
Alors assurément nous serons en enfer
S’il n’y a plus de fragile, s’il n’y a plus de subtil
Si le monde n’est plus qu’une chose immobile.

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