Par largent et la gloire.
Publié le 03 août 2025
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J’oscille chaque jour au gré de vents contraires
Entre mon propre sort et celui de la Terre
Entre le gai spectacle de la nature, autour,
Et le ballet sinistre que mènent les vautours.
Ces vautours qui dominent notre monde actuel
Qui sèment les famines et les guerres cruelles
Qui ne connaissent plus aucune autre valeur
Que celle de l’argent qui gangrène leur cœur.
Tantôt je me réjouis d’un nuage qui passe
D’un soleil qui paresse sur le miroir fugace
D’un torrent enfiévré, sur un lac de montagne
Tantôt je suis frappé par la chaleur qui gagne
Chaque jour un peu plus nos terres arides
Bousculant à jamais tous les éphémérides,
Par la folie des hommes qui jouent leur avenir
Dans les jeux mortifères qu’ils s’obstinent à tenir.
Je suis cette poussière sur l’immense tapis
Qui ne se résout pas à dire : et puis tant pis !
Qui voudrait voir bientôt balayés par l’histoire
Tous ces gens animés par l’argent ou la gloire.
Entre mon propre sort et celui de la Terre
Entre le gai spectacle de la nature, autour,
Et le ballet sinistre que mènent les vautours.
Ces vautours qui dominent notre monde actuel
Qui sèment les famines et les guerres cruelles
Qui ne connaissent plus aucune autre valeur
Que celle de l’argent qui gangrène leur cœur.
Tantôt je me réjouis d’un nuage qui passe
D’un soleil qui paresse sur le miroir fugace
D’un torrent enfiévré, sur un lac de montagne
Tantôt je suis frappé par la chaleur qui gagne
Chaque jour un peu plus nos terres arides
Bousculant à jamais tous les éphémérides,
Par la folie des hommes qui jouent leur avenir
Dans les jeux mortifères qu’ils s’obstinent à tenir.
Je suis cette poussière sur l’immense tapis
Qui ne se résout pas à dire : et puis tant pis !
Qui voudrait voir bientôt balayés par l’histoire
Tous ces gens animés par l’argent ou la gloire.

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