Par procuration.
Publié le 03 août 2025
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J’aime à voir le monde à travers d’autres yeux.
Pour ça je vous le dis je n’ai pas trouvé mieux
Que dévorer un livre qui raconte une vie
Que je puis alors vivre si j’en ai quelque envie.
Chaque ouvrage est ainsi comme une parenthèse
Que j’ouvre ou je ferme selon ma seule aise.
Le temps est en suspens tant que le délai court
Le temps de la lecture lorsque j’y ai recours.
Là rien d’original tant lire est banal
Tant d’entre vous empruntent ce si joli canal
Chacun fait l’expérience et n’en revient indemne
Tant la magie opère sans créer de problème.
J’aime à voir du monde mille et mille lieux
Sans avoir pour cela à voyager sans cesse
Pour ça je vous le dis je n’ai pas trouvé mieux
Que les documentaires qui m’en donnent l’adresse.
Je découvre la terre dans ses moindres recoins
Ses habitants, ses charmes, même ceux qui sont loin
En bateau, en avion, en train ou même à pied
Je vais dans les pays où d’aller il me sied.
Là rien d’original tant le geste est banal
Tant d’autres comme moi empruntent ce canal.
J’en ai fait l’expérience et j’en suis fort ravi
Sans ça ne connaîtrais ce monde qu’à demi.
Je bouge et j’agis et je fais des rencontres
Mais combien de limites hors celles de la montre ?
Je vis certes le reste par procuration
Tout ce dont par moi même ne puis l’exploration.
Pour ça je vous le dis je n’ai pas trouvé mieux
Que dévorer un livre qui raconte une vie
Que je puis alors vivre si j’en ai quelque envie.
Chaque ouvrage est ainsi comme une parenthèse
Que j’ouvre ou je ferme selon ma seule aise.
Le temps est en suspens tant que le délai court
Le temps de la lecture lorsque j’y ai recours.
Là rien d’original tant lire est banal
Tant d’entre vous empruntent ce si joli canal
Chacun fait l’expérience et n’en revient indemne
Tant la magie opère sans créer de problème.
J’aime à voir du monde mille et mille lieux
Sans avoir pour cela à voyager sans cesse
Pour ça je vous le dis je n’ai pas trouvé mieux
Que les documentaires qui m’en donnent l’adresse.
Je découvre la terre dans ses moindres recoins
Ses habitants, ses charmes, même ceux qui sont loin
En bateau, en avion, en train ou même à pied
Je vais dans les pays où d’aller il me sied.
Là rien d’original tant le geste est banal
Tant d’autres comme moi empruntent ce canal.
J’en ai fait l’expérience et j’en suis fort ravi
Sans ça ne connaîtrais ce monde qu’à demi.
Je bouge et j’agis et je fais des rencontres
Mais combien de limites hors celles de la montre ?
Je vis certes le reste par procuration
Tout ce dont par moi même ne puis l’exploration.

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