Pas déchappatoire
Publié le 03 août 2025
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Quand à travers les ondes s’entendent les rumeurs
De ces lointains combats où las tant de gens meurent,
Beaucoup se disent encore puisque ca n’est chez nous
Nous pouvons bien rester un peuple à genoux.
D’autres disent très fort, ça se passe à deux pas !
Ça va venir chez nous si on n’intervient pas !
Si vis pacem, para bellum ! Rappellent-ils
Le pays réveiller, tout entier, ne faut-il ?
Drapeau blanc ou panache, que veut-on haut dresser ?
Quel futur voulons nous pour nos enfants chéris ?
Voulons-nous rester libres et en payer le prix,
Ou laisser les tyrans demain nous agresser ?
L’histoire a un mérite c’est de nous enseigner
Que les guerres d’empire ne cessent de saigner
Que si s’oppose à elles une plus grande force
Capable de percer des tyrans, leur écorce.
Bien sûr que la paix est meilleure que tout,
Mais hélas elle s’obtient quand l’autre est à bout
Aujourd’hui la victime est encore debout
Nous devons donc l’aider à tenir jusqu’au bout.
Jusqu’à dissuader l’agresseur de poursuivre
Sa funeste entreprise pour empêcher de vivre
Tout un pays ami qui ne veut pas plier
Sous la botte infâme qui voudrait le nier.
La bulle a éclaté de la très longue trêve
Des belles décennies sans connaître la guerre
Et bien qu’abasourdis en sortant de ce rêve
Je crains, d’échappatoire, que nous n’en ayons guère…
De ces lointains combats où las tant de gens meurent,
Beaucoup se disent encore puisque ca n’est chez nous
Nous pouvons bien rester un peuple à genoux.
D’autres disent très fort, ça se passe à deux pas !
Ça va venir chez nous si on n’intervient pas !
Si vis pacem, para bellum ! Rappellent-ils
Le pays réveiller, tout entier, ne faut-il ?
Drapeau blanc ou panache, que veut-on haut dresser ?
Quel futur voulons nous pour nos enfants chéris ?
Voulons-nous rester libres et en payer le prix,
Ou laisser les tyrans demain nous agresser ?
L’histoire a un mérite c’est de nous enseigner
Que les guerres d’empire ne cessent de saigner
Que si s’oppose à elles une plus grande force
Capable de percer des tyrans, leur écorce.
Bien sûr que la paix est meilleure que tout,
Mais hélas elle s’obtient quand l’autre est à bout
Aujourd’hui la victime est encore debout
Nous devons donc l’aider à tenir jusqu’au bout.
Jusqu’à dissuader l’agresseur de poursuivre
Sa funeste entreprise pour empêcher de vivre
Tout un pays ami qui ne veut pas plier
Sous la botte infâme qui voudrait le nier.
La bulle a éclaté de la très longue trêve
Des belles décennies sans connaître la guerre
Et bien qu’abasourdis en sortant de ce rêve
Je crains, d’échappatoire, que nous n’en ayons guère…

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