Pourquoi écrire encore ?
Publié le 03 août 2025
2 minutes de lecture
4 lecture
(0)
Pourquoi écrire encore quand tout a été dit ?
Que les amours soient mortes ou les héros maudits
Qu’au delà des étoiles, il est un paradis
Que la terre est belle, mais pleines d’interdits.
Pourquoi ajouterai-je encore quelques mots
L’homme est trop rebelle, et il aime ses maux
Quelle curieuse espèce, spirituel marmot
Mais capable du pire, quand il est en troupeau.
Que me sert de chanter de jolies ritournelles
Quand nous croyons encore, à la vie éternelle
Quand nous ne voyons pas le jeu des étincelles
Ni combien nos actions, peuvent être cruelles.
La raison n’est première, à tous les rendez-vous
Se cache bien derrière, le mal qu’on a en nous
Une voix peut, qui sait, en renverser le cours
Conjonction improbable, de nos peurs après tout.
Pourquoi croire encore, que les mots font échos
Quand les seuls entendus, nous conduisent au gouffre
Qui peut encore voir, pourquoi autant on souffre,
Est-on devenus sourds, à tous les seuls vrais mots ?
C’est amour, c’est respect, c’est aussi ouverture
Tout ce que nous enseigne, la vie dans la nature
C’est entraide, attention et solidarité
Sans lesquelles il n’est pas, durable liberté.
Pourquoi écrire encore, sauf à tendre un miroir
Pour que l’homme en l’autre, voit un autre lui même
Pourquoi le dire encore, à qui ne veut y croire
Préférant proférer, plutôt des anathèmes.
Mais voilà qu’à mon tour, je succombe au piège
Pas par naïveté, je suis bouchon de liège
Mais de lire mes mots, me laisse une illusion
Celle au milieu du jeu, que conserve le pion.
Que les amours soient mortes ou les héros maudits
Qu’au delà des étoiles, il est un paradis
Que la terre est belle, mais pleines d’interdits.
Pourquoi ajouterai-je encore quelques mots
L’homme est trop rebelle, et il aime ses maux
Quelle curieuse espèce, spirituel marmot
Mais capable du pire, quand il est en troupeau.
Que me sert de chanter de jolies ritournelles
Quand nous croyons encore, à la vie éternelle
Quand nous ne voyons pas le jeu des étincelles
Ni combien nos actions, peuvent être cruelles.
La raison n’est première, à tous les rendez-vous
Se cache bien derrière, le mal qu’on a en nous
Une voix peut, qui sait, en renverser le cours
Conjonction improbable, de nos peurs après tout.
Pourquoi croire encore, que les mots font échos
Quand les seuls entendus, nous conduisent au gouffre
Qui peut encore voir, pourquoi autant on souffre,
Est-on devenus sourds, à tous les seuls vrais mots ?
C’est amour, c’est respect, c’est aussi ouverture
Tout ce que nous enseigne, la vie dans la nature
C’est entraide, attention et solidarité
Sans lesquelles il n’est pas, durable liberté.
Pourquoi écrire encore, sauf à tendre un miroir
Pour que l’homme en l’autre, voit un autre lui même
Pourquoi le dire encore, à qui ne veut y croire
Préférant proférer, plutôt des anathèmes.
Mais voilà qu’à mon tour, je succombe au piège
Pas par naïveté, je suis bouchon de liège
Mais de lire mes mots, me laisse une illusion
Celle au milieu du jeu, que conserve le pion.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.