Puisque nul ne le sait.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
5 lecture
(0)
Puisque devant la mort nul ne tourne casaque
Puisque ne servent à rien des assauts de cosaque
Comment s’y préparer lorsqu’on la voit venir
Car en fait ce n’est rien que de devoir mourir.
C’est partir, c’est souffrir que tant chacun redoute
De quitter les amours, ses compagnons de route
D’aller s’égarer sur des chemins de souffrance
De vivre une agonie dépourvue d’espérance.
Qu’un claquement de doigt vienne souffler la flamme
Que la faux siffle et tranche le fil qui nous retient.
Que quel que soit son choix, le souffle ou la lame
Elle nous emporte un jour, sans coup férir, c’est rien.
D’où nous sommes venus, au vrai nul ne le sait
Et où nous repartons cela reste un mystère
La vie n’est après tout peut être qu’un essai
Quand une âme vient faire un petit tour sur terre.
Puisque ne servent à rien des assauts de cosaque
Comment s’y préparer lorsqu’on la voit venir
Car en fait ce n’est rien que de devoir mourir.
C’est partir, c’est souffrir que tant chacun redoute
De quitter les amours, ses compagnons de route
D’aller s’égarer sur des chemins de souffrance
De vivre une agonie dépourvue d’espérance.
Qu’un claquement de doigt vienne souffler la flamme
Que la faux siffle et tranche le fil qui nous retient.
Que quel que soit son choix, le souffle ou la lame
Elle nous emporte un jour, sans coup férir, c’est rien.
D’où nous sommes venus, au vrai nul ne le sait
Et où nous repartons cela reste un mystère
La vie n’est après tout peut être qu’un essai
Quand une âme vient faire un petit tour sur terre.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.