Quand elle vous tient.
Publié le 03 août 2025
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Elle m’a attrapé dans ses serres
Comme des croches dans mes chairs
À ce point que je désespère,
Et la joie part en un éclair.
Elle m’a saisi sans prévenir
Lorsque le temps était au clair
Elle aime à faire souffrir
À vous en faire perdre l’air.
Elle a surgi comme un orage
Dans l’aube fraîche du matin
Après une nuit sans image
Comme éclate un chagrin.
Plus que la mort on la redoute
Quand elle vous tient, tout fout le camp
Quiconque la trouve sur sa route
Fera partie du même camp.
Ceux qui en ont fait la rencontre
Eux s’en souviennent pour longtemps
J’en connais point qui ne soient contre
De vivre avec elle un moment.
Et lorsqu’un jour, elle vous lâche
Combien devant n’ont été lâches ?
Tous vivront lors dans la hantise
D’un retour de douleur exquise.
Comme des croches dans mes chairs
À ce point que je désespère,
Et la joie part en un éclair.
Elle m’a saisi sans prévenir
Lorsque le temps était au clair
Elle aime à faire souffrir
À vous en faire perdre l’air.
Elle a surgi comme un orage
Dans l’aube fraîche du matin
Après une nuit sans image
Comme éclate un chagrin.
Plus que la mort on la redoute
Quand elle vous tient, tout fout le camp
Quiconque la trouve sur sa route
Fera partie du même camp.
Ceux qui en ont fait la rencontre
Eux s’en souviennent pour longtemps
J’en connais point qui ne soient contre
De vivre avec elle un moment.
Et lorsqu’un jour, elle vous lâche
Combien devant n’ont été lâches ?
Tous vivront lors dans la hantise
D’un retour de douleur exquise.

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