Quelques grains de beauté.
Publié le 03 août 2025
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Quelques grains de beauté sur une page blanche
Comme des fleurs posées en robe du dimanche
Pour éviter aussi quand la mémoire flanche
D’oublier tout l’amour qui tout autour s’épanche.
Car la terre est amour qui vient nourrir la graine
L’eau en bénédiction qui à son tour l’hydrate
Le rayon du soleil qui la chauffe et la gâte
Le ver qui laboure et ne compte sa peine.
L’océan est amour qui héberge un troupeau
Le plancton minuscule qui est pour tout nourriture
Les poissons innombrables qui sillonnent ses eaux
Où pullulent en silence bien d’autres créatures.
La forêt est amour avec ses frondaisons
Qui sont pour bien des êtres comme une vraie maison
Ses ombres protectrices pour des milliers d’espèces
Un milieu où la vie bourgeonne et ne cesse.
Le ciel même est amour qui est tout sauf du vide
Qui contient tout cet air dont les vies sont avides
Où volent les oiseaux, ces êtres magnifiques
Où brillent les étoiles, nos rêves mirifiques.
Quelques mots esquissés en timides hommages
Pauvres signes tracés un jour sur une page
Juste pour rappeler que le monde est miracle
Tenter de conjurer une triste débâcle.
Comme des fleurs posées en robe du dimanche
Pour éviter aussi quand la mémoire flanche
D’oublier tout l’amour qui tout autour s’épanche.
Car la terre est amour qui vient nourrir la graine
L’eau en bénédiction qui à son tour l’hydrate
Le rayon du soleil qui la chauffe et la gâte
Le ver qui laboure et ne compte sa peine.
L’océan est amour qui héberge un troupeau
Le plancton minuscule qui est pour tout nourriture
Les poissons innombrables qui sillonnent ses eaux
Où pullulent en silence bien d’autres créatures.
La forêt est amour avec ses frondaisons
Qui sont pour bien des êtres comme une vraie maison
Ses ombres protectrices pour des milliers d’espèces
Un milieu où la vie bourgeonne et ne cesse.
Le ciel même est amour qui est tout sauf du vide
Qui contient tout cet air dont les vies sont avides
Où volent les oiseaux, ces êtres magnifiques
Où brillent les étoiles, nos rêves mirifiques.
Quelques mots esquissés en timides hommages
Pauvres signes tracés un jour sur une page
Juste pour rappeler que le monde est miracle
Tenter de conjurer une triste débâcle.

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