Réalités.
Publié le 03 août 2025
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Nous vivons bien des vies sans en avoir conscience
Des vies qui s’entremêlent toute notre existence
Dans des mondes imbriqués où nous allons errer
Des mondes chevauchés où nous sommes terrés.
C’est d’abord notre corps, notre espace intime
Dont nous sommes ou les princes ou les pauvres victimes.
Notre chair la prison où se débat notre âme
Notre peau la limite, dont tous on se réclame.
C’est aussi cette bulle, ce monde rapproché
Cette maison, les siens à qui le reprocher ?
Cette sphère vitale à notre équilibre
La seule où beaucoup se sentent un peu libres.
C’est bien sur ce terrain que l’on fait société
Où il nous faut aller pour souvent travailler
Consommer, dépenser, même se dépenser
Celui qui accapare bien et trop de nos pensées.
Mais le monde est vaste au delà de nous mêmes
La planète rencontre tant et tant de problèmes
Que la plupart ne veulent même aborder ces thèmes
Pourtant ne nous faut-il défendre ce qu’on aime ?
Il y a l’univers et ses milliards d’étoiles
Qui reste hors de portée hormis la grande toile
C’est un monde de rêves aux lois illimitées
Où l’on se réfugie pour mieux s’y échapper.
Nous franchissons ces strates dans nos faibles enveloppes
Au risque de nous perdre en voyages interlopes.
Prisonniers de nos corps, mais libres en pensées
Chacun peut dans ces mondes naviguer à son gré.
Mais personne n’échappe à la réalité
Qui sait bien malgré nous toujours nous rattraper
Ce dont chacun de nous doit se préoccuper
C’est du monde physique sans qui il ne serait.
Des vies qui s’entremêlent toute notre existence
Dans des mondes imbriqués où nous allons errer
Des mondes chevauchés où nous sommes terrés.
C’est d’abord notre corps, notre espace intime
Dont nous sommes ou les princes ou les pauvres victimes.
Notre chair la prison où se débat notre âme
Notre peau la limite, dont tous on se réclame.
C’est aussi cette bulle, ce monde rapproché
Cette maison, les siens à qui le reprocher ?
Cette sphère vitale à notre équilibre
La seule où beaucoup se sentent un peu libres.
C’est bien sur ce terrain que l’on fait société
Où il nous faut aller pour souvent travailler
Consommer, dépenser, même se dépenser
Celui qui accapare bien et trop de nos pensées.
Mais le monde est vaste au delà de nous mêmes
La planète rencontre tant et tant de problèmes
Que la plupart ne veulent même aborder ces thèmes
Pourtant ne nous faut-il défendre ce qu’on aime ?
Il y a l’univers et ses milliards d’étoiles
Qui reste hors de portée hormis la grande toile
C’est un monde de rêves aux lois illimitées
Où l’on se réfugie pour mieux s’y échapper.
Nous franchissons ces strates dans nos faibles enveloppes
Au risque de nous perdre en voyages interlopes.
Prisonniers de nos corps, mais libres en pensées
Chacun peut dans ces mondes naviguer à son gré.
Mais personne n’échappe à la réalité
Qui sait bien malgré nous toujours nous rattraper
Ce dont chacun de nous doit se préoccuper
C’est du monde physique sans qui il ne serait.

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