Rêve ou réalité ?
Publié le 03 août 2025
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Comme je gravissais, ce jour là, la colline
Prenant soin d’éviter des ajoncs, les épines
J’ai aperçu assis, plus loin sur le chemin
Un enfant, en haillons, encore un gamin.
Comme je m’approchais, je le trouvais en pleurs
Son petit corps à bout, secoué de sanglots
Je me suis arrêté, pour lui donner de l’eau
Je lui ai demandé, que fais tu à cette heure ?
Je ne sais pas très bien qui je suis, d’où je viens
Vraiment très peu de choses, dont là je me souviens.
Je me suis réveillé ici de bon matin
J’avais faim, j’avais froid et sur moi je n’ai rien.
Sous ses cheveux épais, sales et emmêlés
J’ai aperçu ses yeux et comme ils brillaient
sous ses traits maculés par les larmes versées
J’ai cru voir un visage qui m’a émerveillé,
Non parce qu’il était beau, et aussi singulier
Mais pour cette lueur qui semblait le nimber.
Et pour cette chaleur qui semblait s’échapper
Et lorsqu’il souriait, une aube se levait.
Je lui ai dit veux-tu que chez moi je t’emmène
Tu pourras te laver et te vêtir de frais
Je ne sais pas très bien où ton chemin te mène
Tu pourras réfléchir et plus tard aviser.
Lors l’enfant se leva comme il me parut grand
Il fit un grand sourire et me tendit les bras
Il me dit, tu es un juste, je m’en souviendrai
Sur ces simples paroles, je me suis réveillé.
Était-ce bien un rêve je me pris à douter
Tant il était empreint de la réalité.
Quand plus tard par courrier je fus sollicité
Pour apporter mon aide aux gosses abandonnés.
Prenant soin d’éviter des ajoncs, les épines
J’ai aperçu assis, plus loin sur le chemin
Un enfant, en haillons, encore un gamin.
Comme je m’approchais, je le trouvais en pleurs
Son petit corps à bout, secoué de sanglots
Je me suis arrêté, pour lui donner de l’eau
Je lui ai demandé, que fais tu à cette heure ?
Je ne sais pas très bien qui je suis, d’où je viens
Vraiment très peu de choses, dont là je me souviens.
Je me suis réveillé ici de bon matin
J’avais faim, j’avais froid et sur moi je n’ai rien.
Sous ses cheveux épais, sales et emmêlés
J’ai aperçu ses yeux et comme ils brillaient
sous ses traits maculés par les larmes versées
J’ai cru voir un visage qui m’a émerveillé,
Non parce qu’il était beau, et aussi singulier
Mais pour cette lueur qui semblait le nimber.
Et pour cette chaleur qui semblait s’échapper
Et lorsqu’il souriait, une aube se levait.
Je lui ai dit veux-tu que chez moi je t’emmène
Tu pourras te laver et te vêtir de frais
Je ne sais pas très bien où ton chemin te mène
Tu pourras réfléchir et plus tard aviser.
Lors l’enfant se leva comme il me parut grand
Il fit un grand sourire et me tendit les bras
Il me dit, tu es un juste, je m’en souviendrai
Sur ces simples paroles, je me suis réveillé.
Était-ce bien un rêve je me pris à douter
Tant il était empreint de la réalité.
Quand plus tard par courrier je fus sollicité
Pour apporter mon aide aux gosses abandonnés.

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