Rien dautre à dire ?
Publié le 03 août 2025
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Chacun a son idée quant à la poésie
Les uns disent qu’elle est une machine à rêves
D’autres vont affirmer qu’il n’y a pas de trêve
Pour dire de ce monde le sombre ou l’ambroisie.
Pour moi elle est un songe où flotte des idées
Sur les ailes du rêve, elle pousse à méditer
Sur la réalité où baigne l’existence
Absurdité, beauté y sont en concurrence.
Comme à travers les vers que, sans répit, je livre
Qui n’ont pas vocation à rester dans les livres,
Mais bien de partager les doutes d’un homme ivre
Des liqueurs des chagrins qu’ainsi je vous délivre.
Je suis fou de l’eau claire des ruisseaux de montagne
Comme des rires clairs de ma douce compagne
J’aime les arcs en ciel, la forme des nuages
La biche intimidée par un soudain passage
Mais je frémis tout comme même si c’est de peur
Au fracas de ces bombes sur des peuples rebelles
Au nombre de ces tombes qu’ils creusent à la pelle
Aux rires des tyrans qui nient toute valeur.
Je m’interroge aussi sur la nature humaine
Pourquoi tant de génies et tant de gens de coeur
Pourquoi tant de bêtise, tant de guerres et de pleurs
Comment ne deviner où tout cela nous mène ?
Pour moi les tremblements des âmes et des cœurs
Demeurent l’aliment qui nourrit mes poèmes
Tant pis si pour certains ce n’est tout ce qu’ils aiment
Je n’ai rien d’autre à dire quand le monde se meurt.
Les uns disent qu’elle est une machine à rêves
D’autres vont affirmer qu’il n’y a pas de trêve
Pour dire de ce monde le sombre ou l’ambroisie.
Pour moi elle est un songe où flotte des idées
Sur les ailes du rêve, elle pousse à méditer
Sur la réalité où baigne l’existence
Absurdité, beauté y sont en concurrence.
Comme à travers les vers que, sans répit, je livre
Qui n’ont pas vocation à rester dans les livres,
Mais bien de partager les doutes d’un homme ivre
Des liqueurs des chagrins qu’ainsi je vous délivre.
Je suis fou de l’eau claire des ruisseaux de montagne
Comme des rires clairs de ma douce compagne
J’aime les arcs en ciel, la forme des nuages
La biche intimidée par un soudain passage
Mais je frémis tout comme même si c’est de peur
Au fracas de ces bombes sur des peuples rebelles
Au nombre de ces tombes qu’ils creusent à la pelle
Aux rires des tyrans qui nient toute valeur.
Je m’interroge aussi sur la nature humaine
Pourquoi tant de génies et tant de gens de coeur
Pourquoi tant de bêtise, tant de guerres et de pleurs
Comment ne deviner où tout cela nous mène ?
Pour moi les tremblements des âmes et des cœurs
Demeurent l’aliment qui nourrit mes poèmes
Tant pis si pour certains ce n’est tout ce qu’ils aiment
Je n’ai rien d’autre à dire quand le monde se meurt.

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