Sabbat.
Publié le 03 août 2025
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Toi qui a peur du noir, d’un monde sans lumière
Qui vénère la lune qui adoucit ta nuit,
Toi qui dans le silence va guetter chaque bruit
Écoute cette musique qu’appelle ta prière.
Elle vient t’envelopper de charmants arpèges
Le vide est aboli par l’effet du solfège
Le monde est habité grâce à ce sortilège
Et voilà que ta vie te sourit et s’allège.
Entends-tu le violon qui prie sous son archet
Qui épouse l’humeur qui encore t’accablait ?
Il vient fouiller ton cœur pour mieux t’en détacher,
Il te dit au festin de la vie, va plutôt t’attabler !
Chasse vite tes ombres, laisse-les s’envoler
Au gré de ma musique, viens avec moi danser
Viens au bal sous la lune, le sabbat liberté
Effacer tes blessures et tes peurs oublier.
Qui vénère la lune qui adoucit ta nuit,
Toi qui dans le silence va guetter chaque bruit
Écoute cette musique qu’appelle ta prière.
Elle vient t’envelopper de charmants arpèges
Le vide est aboli par l’effet du solfège
Le monde est habité grâce à ce sortilège
Et voilà que ta vie te sourit et s’allège.
Entends-tu le violon qui prie sous son archet
Qui épouse l’humeur qui encore t’accablait ?
Il vient fouiller ton cœur pour mieux t’en détacher,
Il te dit au festin de la vie, va plutôt t’attabler !
Chasse vite tes ombres, laisse-les s’envoler
Au gré de ma musique, viens avec moi danser
Viens au bal sous la lune, le sabbat liberté
Effacer tes blessures et tes peurs oublier.

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