Sans égal.
Publié le 03 août 2025
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D’un bonheur sans égal, j’ai joui pendant longtemps
Et d’une compagnie si douce et si plaisante.
Grâce à la tendre amie qui était si présente
L’amour était régal dans ces journées d’antan.
Vinrent les jours arides, sans
elle, je l’entends
Une époque silence sans la voix de l’amante
Où je pris tant conscience qu’elle était exaltante
Me laissant ce grand vide où toujours je l’attends.
Perds toute illusion sur ce que la vie t’offre
Ce n’est là que hasard, tant mieux s’il te sourit.
Le bonheur sache-le, ne se met pas en coffre.
Mais ne crois pas non plus trop fatal le malheur
La joie comme l’amour ne sont pas rêveries
Écoute-les piaffer tout au fond de ton cœur.
Et d’une compagnie si douce et si plaisante.
Grâce à la tendre amie qui était si présente
L’amour était régal dans ces journées d’antan.
Vinrent les jours arides, sans
elle, je l’entends
Une époque silence sans la voix de l’amante
Où je pris tant conscience qu’elle était exaltante
Me laissant ce grand vide où toujours je l’attends.
Perds toute illusion sur ce que la vie t’offre
Ce n’est là que hasard, tant mieux s’il te sourit.
Le bonheur sache-le, ne se met pas en coffre.
Mais ne crois pas non plus trop fatal le malheur
La joie comme l’amour ne sont pas rêveries
Écoute-les piaffer tout au fond de ton cœur.

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