Sans être Hugo ou bien Giono.
Publié le 03 août 2025
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Je ne suis c’est acquis ni Giono ni Hugo
Je n’oserais placer aussi haut mon ego
J’aime bien toutefois jongler avec les mots
Voyager sur les pages, plume au gré des flots.
Pour dire mille choses, mais ce que je propose
N’est pas toujours très gai, ne court après le rose.
Car les hommes ne tirent pas longtemps de leçons
De toutes leurs erreurs qu’ils répètent à foison.
Alors comme Giono je chante la nature
Et les petits bonheurs que pour nous elle murmure,
Alors comme Hugo aussi je vilipende
Non pas les misérables, mais les grands qu’on les pende !
Je tombe en extase devant tant de merveilles,
Simple coquelicot ou coucher de soleil
Je me mets en colère quand la cupidité
Réduit les hommes à perdre jusqu’à leur dignité.
Je ne sais si Giono pleurerait s’il voyait
Combien cette nature les hommes ont dévoyée.
Et qui sait si Hugo hisserait les drapeaux
Devant ces politiques dont naissent tant de maux.
Moi ce que je retiens c’est une vérité
Que l’on trouve encore du bonheur dans les prés.
Je garde tout en moi la forte conviction
Que les hommes ne sont hélas, que ce qu’ils sont.
Je n’oserais placer aussi haut mon ego
J’aime bien toutefois jongler avec les mots
Voyager sur les pages, plume au gré des flots.
Pour dire mille choses, mais ce que je propose
N’est pas toujours très gai, ne court après le rose.
Car les hommes ne tirent pas longtemps de leçons
De toutes leurs erreurs qu’ils répètent à foison.
Alors comme Giono je chante la nature
Et les petits bonheurs que pour nous elle murmure,
Alors comme Hugo aussi je vilipende
Non pas les misérables, mais les grands qu’on les pende !
Je tombe en extase devant tant de merveilles,
Simple coquelicot ou coucher de soleil
Je me mets en colère quand la cupidité
Réduit les hommes à perdre jusqu’à leur dignité.
Je ne sais si Giono pleurerait s’il voyait
Combien cette nature les hommes ont dévoyée.
Et qui sait si Hugo hisserait les drapeaux
Devant ces politiques dont naissent tant de maux.
Moi ce que je retiens c’est une vérité
Que l’on trouve encore du bonheur dans les prés.
Je garde tout en moi la forte conviction
Que les hommes ne sont hélas, que ce qu’ils sont.

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