Sans jalousie.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
4 lecture
(0)
Sitôt que je m’éloigne un autre te sourit
Serais-je par mégarde frappé de jalousie ?
Quand j’ai le dos tourné ou que je suis parti
Penses-tu, ça m’obsède, à tromper ton mari ?
Je ne suis pas de ceux qui ont de tels soupçons
J’ai totale confiance en ma tendre moitié
Non pas que je pense être le meilleur des garçons
Mais parce qu’elle m’aime et m’a en amitié.
Je prends même plaisir à voir combien elle plait
Aucun de leurs regards n’ouvre en moi de plaie
J’aime qu’elle soit belle pour d’autres que pour moi
Qu’elle provoque en eux même quelques émois.
Je ne suis pas de ceux qui craignent de la voir
Céder à quelque invite ne serait-ce qu’un soir.
Je ne prétends qu’elle rêve déjà de tout avoir
Mais l’amour qu’on se porte a beaucoup de pouvoir.
Nous avons cette chance d’être unis pour la vie
Et de ne pas chercher ailleurs d’autres envies
Même si nous n’étions pas femme et mari
Nous tenons à nous mêmes comme au meilleur pari.
Serais-je par mégarde frappé de jalousie ?
Quand j’ai le dos tourné ou que je suis parti
Penses-tu, ça m’obsède, à tromper ton mari ?
Je ne suis pas de ceux qui ont de tels soupçons
J’ai totale confiance en ma tendre moitié
Non pas que je pense être le meilleur des garçons
Mais parce qu’elle m’aime et m’a en amitié.
Je prends même plaisir à voir combien elle plait
Aucun de leurs regards n’ouvre en moi de plaie
J’aime qu’elle soit belle pour d’autres que pour moi
Qu’elle provoque en eux même quelques émois.
Je ne suis pas de ceux qui craignent de la voir
Céder à quelque invite ne serait-ce qu’un soir.
Je ne prétends qu’elle rêve déjà de tout avoir
Mais l’amour qu’on se porte a beaucoup de pouvoir.
Nous avons cette chance d’être unis pour la vie
Et de ne pas chercher ailleurs d’autres envies
Même si nous n’étions pas femme et mari
Nous tenons à nous mêmes comme au meilleur pari.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.