Si ne fanait la rose.
Publié le 03 août 2025
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Nous pensons, c’est constant, que le temps nous abîme
Quand nos corps on le voit à la longue faiblissent
Il est vrai que nos forces un beau jour nous trahissent
Que l’on plonge à la fin et tout droit dans l'abîme.
Pourtant, avec le temps, l’esprit atteint des cimes
Grâce à ce savoir qui bien plus haut nous hisse
Et c’est bien grâce à lui que beaucoup accomplissent
Les rêves qu’ils avaient et auxquels leur vie rime.
Pour les uns ennemi et pour d’autres ami
Le temps se moque bien de nos petits soucis
Il gouverne partout les êtres et les choses.
Qu’il soit vu comme un don, heureux ou bien cruel
Tout semblerait sans lui d’un ennui très mortel.
Qui chanterait l’amour si ne fanait la rose ?
Quand nos corps on le voit à la longue faiblissent
Il est vrai que nos forces un beau jour nous trahissent
Que l’on plonge à la fin et tout droit dans l'abîme.
Pourtant, avec le temps, l’esprit atteint des cimes
Grâce à ce savoir qui bien plus haut nous hisse
Et c’est bien grâce à lui que beaucoup accomplissent
Les rêves qu’ils avaient et auxquels leur vie rime.
Pour les uns ennemi et pour d’autres ami
Le temps se moque bien de nos petits soucis
Il gouverne partout les êtres et les choses.
Qu’il soit vu comme un don, heureux ou bien cruel
Tout semblerait sans lui d’un ennui très mortel.
Qui chanterait l’amour si ne fanait la rose ?

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