Si nous ne le pensions.
Publié le 03 août 2025
moins d'une minute de lecture
6 lecture
(0)
Les plus beaux poèmes attendent d’être écrits,
Qu’ils nous parlent d’amour ou soient remplis de cris.
De jolies ritournelles ou des textes épiques
Que le lecteur séduit trouvera magnifiques.
S’il n’en était ainsi que feraient les poètes
Que vaines imitations de poésies parfaites ?
Si nous ne le pensions, si nous ne le croyions
Nous aurions tous posé quelque part nos crayons.
La belle poésie espère être écrite
Sera-t-elle joyeuse ? Sera-t-elle maudite ?
Une tendre ballade ou un doux chant d’amour
Que le lecteur conquis retiendra pour toujours.
S’il n’en était ainsi les pauvres troubadours
Devraient chanter sans fin, toujours mêmes refrains.
Si nous ne l’espérions, si nous n’y aspirions
Nous resterions muets quelque part pour de bon.
Qu’ils nous parlent d’amour ou soient remplis de cris.
De jolies ritournelles ou des textes épiques
Que le lecteur séduit trouvera magnifiques.
S’il n’en était ainsi que feraient les poètes
Que vaines imitations de poésies parfaites ?
Si nous ne le pensions, si nous ne le croyions
Nous aurions tous posé quelque part nos crayons.
La belle poésie espère être écrite
Sera-t-elle joyeuse ? Sera-t-elle maudite ?
Une tendre ballade ou un doux chant d’amour
Que le lecteur conquis retiendra pour toujours.
S’il n’en était ainsi les pauvres troubadours
Devraient chanter sans fin, toujours mêmes refrains.
Si nous ne l’espérions, si nous n’y aspirions
Nous resterions muets quelque part pour de bon.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.