Sil vous plaisait.
Publié le 04 août 2025
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S’il vous plaisait un jour de me dire pourquoi
Vous êtes hautaine quand passez près de moi,
Pourquoi toutes les flèches dans votre carquois
M’ont touché en plein cœur, ne le voyez-vous pas ?
Si un jour par mégarde vous abaissez vos yeux
Et daignez regarder un pauvre malheureux
Qui se morfond pour vous au delà du possible
Depuis que votre grâce a pris son cœur pour cible.
Si le hasard fait que vous ayez un moment
Pour lui adresser un mot et calmer son tourment,
Pour savoir qu’il existe, ne serait-ce qu’un peu,
Même si ça n’est là, pour vous qu’un de vos jeux,
Alors enfin le ciel sera pour un instant
Privé de ces nuages qui sur lui pèsent tant
Un seul de vos sourires sera comme un printemps
Puisqu’il n’en espérait en rien de vous autant.
Vous êtes hautaine quand passez près de moi,
Pourquoi toutes les flèches dans votre carquois
M’ont touché en plein cœur, ne le voyez-vous pas ?
Si un jour par mégarde vous abaissez vos yeux
Et daignez regarder un pauvre malheureux
Qui se morfond pour vous au delà du possible
Depuis que votre grâce a pris son cœur pour cible.
Si le hasard fait que vous ayez un moment
Pour lui adresser un mot et calmer son tourment,
Pour savoir qu’il existe, ne serait-ce qu’un peu,
Même si ça n’est là, pour vous qu’un de vos jeux,
Alors enfin le ciel sera pour un instant
Privé de ces nuages qui sur lui pèsent tant
Un seul de vos sourires sera comme un printemps
Puisqu’il n’en espérait en rien de vous autant.

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