Sous le grand châtaignier.
Publié le 04 août 2025
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Ami ouvre les yeux, sais-tu ce qui m’attriste ?
Que mes contemporains, si peu te voient vraiment.
Pourtant tu es d’abord et aussi sûrement
Sur ce lieu qui est le nôtre, la plus grande artiste.
Ami, ouvre les yeux, ce n’est un jeu de piste.
Arrête toi au bord d’un chemin simplement
Et observe la vie qui jamais ne te ment
Combien de ses beautés, on ne connaît la liste.
L’abeille sur la fleur, comme le coquillage
La biche au qui vive, le lys en ornement
L’oiseau à tire d’aile, et le roseau sauvage.
La toile délicate de la moindre araignée
Ou la pomme de pin. Tu feras le serment
D’aller de temps en temps sous le grand châtaigner.
Que mes contemporains, si peu te voient vraiment.
Pourtant tu es d’abord et aussi sûrement
Sur ce lieu qui est le nôtre, la plus grande artiste.
Ami, ouvre les yeux, ce n’est un jeu de piste.
Arrête toi au bord d’un chemin simplement
Et observe la vie qui jamais ne te ment
Combien de ses beautés, on ne connaît la liste.
L’abeille sur la fleur, comme le coquillage
La biche au qui vive, le lys en ornement
L’oiseau à tire d’aile, et le roseau sauvage.
La toile délicate de la moindre araignée
Ou la pomme de pin. Tu feras le serment
D’aller de temps en temps sous le grand châtaigner.

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