Sous le vernis
Publié le 04 août 2025
moins d'une minute de lecture
5 lecture
(0)
J’éprouve une tristesse à ouïr la bêtise
D’autant à voir certains en faire gourmandise
Proférant des avis ou bien des opinions
Qui n’ont comme seul but que faire du pognon.
En flattant les instincts les plus bas de l’espèce
Espérant recevoir un renfort de sesterces
En prônant la violence la haine et le rejet
En n’ayant que la guerre à poser en projet.
Il y a tant de canaux où s’agitent les sots
Tant d’écrans sont offerts où ils déversent à seaux
Leurs propos mortifères, leurs pensées égoïstes
Partout c’est écœurant ils encombrent la piste.
Pour un sage parfois qui s’en excuse presque
Combien de paltoquets forment la barbaresque
Pour un savant timide tout imprégné de doutes
Combien de matamores prétendent ouvrir la route ?
Mon pardon peut aller aux pauvres imbéciles
Mais je n’ai de pitié pour les plus mercantiles
Pour ceux qui n’ont en tête que leurs seuls intérêts
À piétiner les autres qui semblent toujours prêts.
Plus triste que furieux tant hélas je constate
Que c’est le genre humain qui trimballe ces tares
Qui est de ses instincts sous un constant dictat.
Sous un vernis poli dort toujours le barbare.
D’autant à voir certains en faire gourmandise
Proférant des avis ou bien des opinions
Qui n’ont comme seul but que faire du pognon.
En flattant les instincts les plus bas de l’espèce
Espérant recevoir un renfort de sesterces
En prônant la violence la haine et le rejet
En n’ayant que la guerre à poser en projet.
Il y a tant de canaux où s’agitent les sots
Tant d’écrans sont offerts où ils déversent à seaux
Leurs propos mortifères, leurs pensées égoïstes
Partout c’est écœurant ils encombrent la piste.
Pour un sage parfois qui s’en excuse presque
Combien de paltoquets forment la barbaresque
Pour un savant timide tout imprégné de doutes
Combien de matamores prétendent ouvrir la route ?
Mon pardon peut aller aux pauvres imbéciles
Mais je n’ai de pitié pour les plus mercantiles
Pour ceux qui n’ont en tête que leurs seuls intérêts
À piétiner les autres qui semblent toujours prêts.
Plus triste que furieux tant hélas je constate
Que c’est le genre humain qui trimballe ces tares
Qui est de ses instincts sous un constant dictat.
Sous un vernis poli dort toujours le barbare.

Connectez-vous
pour noter ce poème, l'ajouter à vos favoris et créer des collections.