Sous son meilleur jour.
Publié le 04 août 2025
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J’en connais, c’est ainsi, qui aiment être seuls
Je ne veux pour moi l’être qu’au sein de mon linceul.
Je ne suis solitaire, j’aime être accompagné
Je ne veux de la foule, juste d’êtres aimés.
Ce n’est que je m’ennuie quand livré à moi même
J’écris mes poésies sur mille et un thèmes
Mais j’aime échanger, mes pensées partager
Plutôt de vive voix, car des réponses j’ai.
Le commerce d’autrui est l’une de ces voies
Par lesquelles j’arrive à me connaître moi
Je récolte les fruits de toutes relations
Que j’établis venues de tous les horizons.
Bien que nous cheminions sur des voies parallèles
Je m’essais à lancer de pauvres passerelles
Et à imaginer des chemins de traverse
Sont-ce des illusions, ce sans quoi je me berce ?
Qu’aurait donc comme sens la course en solitaire
Que d’accomplir sa vie, tout seul, sur cette terre ?
À ne tisser des liens, on se prive d’amour
Comment voir lors la vie sous le meilleur des jours ?
Je ne veux pour moi l’être qu’au sein de mon linceul.
Je ne suis solitaire, j’aime être accompagné
Je ne veux de la foule, juste d’êtres aimés.
Ce n’est que je m’ennuie quand livré à moi même
J’écris mes poésies sur mille et un thèmes
Mais j’aime échanger, mes pensées partager
Plutôt de vive voix, car des réponses j’ai.
Le commerce d’autrui est l’une de ces voies
Par lesquelles j’arrive à me connaître moi
Je récolte les fruits de toutes relations
Que j’établis venues de tous les horizons.
Bien que nous cheminions sur des voies parallèles
Je m’essais à lancer de pauvres passerelles
Et à imaginer des chemins de traverse
Sont-ce des illusions, ce sans quoi je me berce ?
Qu’aurait donc comme sens la course en solitaire
Que d’accomplir sa vie, tout seul, sur cette terre ?
À ne tisser des liens, on se prive d’amour
Comment voir lors la vie sous le meilleur des jours ?

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